Le
»
vajent repréietitéen 8. 0. Man\r:2. MENALLY,
Entre l'une lo | ancien de Calgäry, Qui vient
ah ere ag EP Kihe_ et | d'être : intrenisé ne 2 +
téticitait le parti: poët son süceus ‘ |
Hamilton, Ont. . .
dans Yélection de West Haëtiogs. .
WA. Buchanan, de Lethbridge, a
été élu président dé l'association 1ibé-
rale de l'Alberta. : k
Une nobteuse délégation du nord
ayapt à sa tête LA. Giroux, député
de Groûard, «à prépnt les desiderata
de, la région. 7 ’
‘La carrière du nouveau chef
* Mitchell siège À la iégisfatüre de
_t'Atbert depuis 1910. 11 à été succes
sivement procüreur général, trésorier
provibclal, mintstre.dés travâux. pu
tiies_Hiinistre des affaires muvicipales
etde ‘la santé. Venu dans l'Ouest en
2898, il ouvrit un'bufeñn d'avocat à
Medicine Hat, ‘où 11 demetra ras
Nouvelles brèves
BRANDON, Mau.
icole catholique paroissiale du coût de
510,000 vient d'être ouverte à Bran-
don. -
— Une nouvelle
LETHBRIDGE, Alta — Giles Lycns,
19 anx,de Magrath, Alta, qui tua l'été
sa nôminatiôn aû poste de juge du À pernétuils \
tniét"fuditiäife” dé Calgary en”
2er sen) amenée
- l'ad ;et où
» is - |
SASKATOON --. Le maire W.Har.
vey Clare a'été réélu par Geo,
L 'akist, que, je maire J.-A. Gregory,
SNA HE A North. Batésord. ’
rmgui a ne. dans le, cabinet Sir ti +9
Je cabinet Stewart, | .. RIVIERE DU -LOUF -- À l'é'eetion
Ra ‘des progresslates, pettielle rehdue nécéssaire paf la Mort
en 4921, fl l'un des rares Ubéraux | de Chaïlés Gauvreau, Jean François
tek
à ôtre réélus 11 représente la‘ cr Pouliot, libéral, a été élu par une ima-
conéctiption de Bow Valley depuis<jorité de 3,000 environ. Son adver-
saire, le Dr E.-A. Parrot, était le can-
1917: ° |
Le parti libéral ajbertain compte
acthellement quatorze membres aur |
uné > chambré de soixante- …
LE MARIAGE N’EST
PAS UNE DANSE
didat officiel du parti 1béral.
MONTREAL -- RL Calder, CR.
avocat de la couronne, a démissionné
| grd se livrer à la pratique du droit.
LT
OTTAWA — Le premier ministre
Greénfield revient à Ottawa le 3. 1]
va y avoir des conférences nouvelles
À —+— et finales espère t-on — sur le re:
Une jeune fille de quinze tour à l’Albertu ‘de ses ressources nà-
À ans Fr! était marêée pour turelles.
potvoir danser à sa guise
MONTREAL — Mgr Louis-Joseph
Grivetti, secrétaire de la délégation
apostolique du Canada et de Terre-
— “Je me suis
Telle
Motos Jaw. Sask.
mariée pour bavote 4 dauser”.
fut l'extraordinaire explication donnée
neuve, ext décédé à l'Ilôtel Dieu de
‘au juge: MacDonald, à la cour du Banc |,
du Roi, Cécilla-Isabella MecGinn. es
Agéo 46” s, dé Tugaske, qui pour- ,
suit so fiari. Leomafd-William . Eller OTTAWA Le sinateur Belcourt,
ton, dâns lé but d'obtenir l'annulation dans un disours au “Canadian Club”,
de sof"thariagr. Le juge MacDonald | * estimé que le Canada devrait rece-
a réservé sa décision. Aucune défense] voir environ $294,000,000 en répara-
n’a été présentée par le mari qui n'altions, pendant les trente uns requis
pas assisté à l'enquête. pour l'exécution du plan Dawes.
La jéune fémme a dit que son père |
était mort. Elle vivait avec £a mère, |
OTTAWA -
dernier William Curry à Great Falls,
Montana, à ét5'condamné à là: prison
- {van, chancelfer du diocèse. *
” TGrandéur à l'entrée de l'évêché, où #
Un récenf décret au | devinèttes,
Rputé tonservatéur fut Elu par 1.179
voix de majorité, bn doit £dmettre que
la victoire 1béralé est très importante. | à
Député du depuis 23 ans
ME Guss Porter était dépats .con-
rervateür dé l'enfrôtt “dépuls 23 ans.
a âvait :
3 eut présentations. 4
La étrémonie de l'intronisat‘on, À
la cathédrale, fui présidée par Soë Ex
cellence Mer pic di Marin, délègué
tot
arrheséque “ds “Age
chevéque de Tofünto, ‘et fes per A
de Hañeybury. Pembrooke, London-et
Saut Sainte-Marie. Mgr MeNaïty
était accompagné de Mgr Herrington.
viéaire général Au diovèse de Calgërt.
‘ Après la cérémonie de lintroniss
tion, les réprésentants des laïques dé
digcèse entrèrent au -choeur_où . une
adresse de bienyenue fut lue à 8:
andeur par. l'how, sénateur George
Nr CR. a — 4
taire qui avait
‘ravaïl, M. Murdoëk, d'avoir, ee
Hépot. de la “Hole Bank”
ar lle la faillite de fette ne
>pnservâteurs avéient secusé M.
tock d'avoir-ptofé de sa situation de |
ministre pour obtenir des renselgne-
vents sur la situation de Îa banque
1 d'avoir employé ses renseignements
lans son propre Î t.
Au cours de la lôite électorale, M'
Murdock" a répondu luimême.à ces
iccusationgr J à aürnis franchément
ivoir retiré son dépôt afin de protéger
A famille contre-toute perte; mais ji
1 ateuré avoir obtenu ses dE AT
ments de source ‘privée.
Les prineïpaux chefs des -pértis ont
Des bandits volent $80,900
au bureau de poste de
:: sd per .+ fOnest et MM! King ét:Meïgben te-
RE + | aient châcut: use réunion 14 veille
— Trois. bandits ma:- sers üe/ l'élection.
3 dans le burean, æ|,:°-:7 Victoire: importante |
: M : King # déctaré -que c'est ” use
leur rbmettre
éonténant #30,000, Ils se sont entuis
en. äätomoblle arant que la police, hâ-
tivetient prévenue. ait rien pu faité,
La police fouille la ville et la des-
cription Gù trio de voleurs a été félé-
opt paquets d'argént Me un châtest-fort “énservateur. Les
deux sièges sont devenus vacants à
la suite de la démission de leur dé
puté. Les deux voulaient éprouver Île
sentiment populaire à l'égard du gou-
vernement. » «
graphiée partout dans {a p A là suite de cette élection, les par-
7 es - | tis aux cominunes se répartissent
| comme suit:-libéraux, 116; progressis-
Barnard est trouvé coupable tes, 62; conservateur$. 61; travailis-
tes, 2; indépendant:, 2: siège vacant.
ÎL Le siège qui reste vacaht est Té-
vince.
Toronto — C.-A. Parnard, C.R., de |
Montréal, l'un des dire:teurs de la
“Home Bank”, a été trouvé coupable
de trois chefs d'accusation ayant tr4il |
à la faillite de cette institation. Ces
accusations sont celles d'aroir fait au
libérale depuis 1896.
TL -D———
Les exportations de grain
gouvernement de fausses déclarations —_——
touchant l'état fiñancier de la Banque: Montréal — Avpartir de l'oùvertiie
d'avoir fait un usage illégal de ces] du fleuve à la navigation, le printemps
déclarations et d'avoir participé par | dernier, jusqu'à date, les exportations
négligence à de faux rapports. Ila étéide grains du port de Montréal sont
condamné à 18 mois de prison. -|de. 160,413,908 Voisseaux. L'année
Un autre directeur, le colonel Cla- dernière, 1 u novembre, les expor-
rence Smith a cé condamné
mois.
à :<ix/|tations de grain de la saison formaient
[le toial de 116,564,:69 boisseaux.
Les Jeux de la a “Liberté ga
: Voici quelque chose de neuf L'rrtté me l"Almanach de la
pour nos lecteurs. ngur française.
s PRIX TRIMESTRIELS
La mode est aux charades, De plus, en bouf de frois
mols carrés, elc.! mois, nous ‘publierons un nou-
Asniè-Jénnie MëGino. Elle aimait pas | Frésor améri-ain autorise l'entrée en! Vous allons én proposer — el} ueau classémént que nous dé-
sionnément is danse, mais à cause de franchise aux Etats-Unis des’ arbres | deijolis — à la sagacité de nôs
sa jeunéssé et des réstrictions impo-| de Noël canadiens.
sées par sa mère, elle dansait trop
rarement. Ellérton était bon idéal] MONTREAL — Soeur Marie-Léo-
comme dansèur et l'enfaht s'ftait for-| pold, de la maison-mèro-d'Hoc! helaga,
mé cette idée: “Si Ellerton devient |a eu les deux yicds coupés par les
mob mari, la vie ne sera plus qu'une
longue succession de “fox trats . Donc
le mariage çut lieu.
La lune de miel fut marquée par
une multiplication de fêtes et de bals.
C'était apparemment la réalisation du
roues du train dont elic venait de des-
cendre, à Strathmore,
Montréal.
grave accident.
|
| MONTREAL Le sénateur Boyer, |
rêve. Mais la vie me se compose pes | frappé récemmen: de paralysie, devra | | Semaine prochaine. Voici coni-
La jeune | prendre un long repos avant de se ré | nou nous procéderons:
seulement de “fox trots”.
femme eut bientôt à faire face à ses | mettre à ses occupations.
devoirs, au foyer de son mari. Les!
illusions. tombèrent et Cecilia fut mal |
ee
heureuse. -Elle petourns chez sa mère.| MONTREAL — Jean Carpentier, àn-|
‘ |cien garde de la prison de Bordeaux,
———*tim—— |a ét condamné à deux ans de péni-|
Le gouvernement Bracken teneier pour avoir aidé Gulseppe Sera-
8 ‘oppose à l’ arran- fini dans une tentative d'évasion, avant
| son exécution pour le meurtre d'Henri
|Cléroux, le chauffeur de la Banque
d'Hochelaza
gement
M. Bracken s'est élevi contre l'ac
ceptation dé l'accord survenu récem- | È
ment entre les parties intéressées au | BELLEVILLE, Ont. —
vujét de la disposition du bois de pulpe | d'un pari perdu dans
du Mauitobs. I! y voit certains abèta-
A la suite:
l'élection de
| West ‘Hastinge, un citoyep en vue du
clés au libre dévelppement des res | village he Frankidrt, revêtu de ses
sources du nord. Voilà une cause de ! habits ordinaires, a sauté d'une dis-
nouveaux rétards dans l'établissemeni tance de dix-huit pieds-dans l'eau g'a-
de la grande maaufaciure projetée à !céé de la rivière Trent, en présence |
Saint- pattern | d'une fouia de curieux . »
5 4 P
ER 2
à l'ouest de | suggérer à nos lecteurs une sé-
Elle ne mourra pas de ce|/Ÿe de bons amusements intel-
1:
demprerer en appréciant tou-
tes lés réponses fournies depuis
lle commenegment du concours.
INous décergprons alors les prix
suivants:
1er prix: Un bon de 550:
2me prix: Un bon de $3.50:
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Ces bons seront 'valables à la
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gagnant.
Tous nos lecteurs sont cor-|
chercheurs. . Nous aurons aussi
dès mots en losange; des méta- |
grammes, des mots carrés syl-
labiiques; nous aurons des cha-
rades. Nous allons, én un mot,
lectuels.
çais.
Nous cammencerons dès la
El tout cela en fran-
Chaque semaine nous propo-
serons. à-nos lecteurs quelques
|nroblèmes à résoudre, les invi-
tant à nous communiquer leurs;
solutions.
PRIX MENSUELS
À la fin de chaque mois, nous |
publierons la lisle de ceux qui
auront fourni les meilleures so-
lutions durant le mois, par or-
dre de mérite. Done, pour faire
ce classement, nous prendrons
en considération chacune des
réponses. soumises à chacun
des problèmes. Nous su que
re; il n'y a que fc personnel de
lu Liberté qui en est exclu.
{les voici:
10. Les solutions devront être
mises à la poste jou déposées
aux buregux de la Liberté au!
plus tard-dans lu journée du |
lundi suivant la publication
dans le journal des problèmes
résolus: ceci est {très important.
rons les prix suivants aux qua-
tre plus heureux concurrents:
ler prix: Un bon de $100:
2me prix: Un bon de 75 sous;
1 3me et me prix: Un exem\
i
Liberté et sur le
écrire, bien li
nom él son
emeñt,
adresse, _:
pris pait à la lütfe dans Hustings-
miscouata, ure circonscription qui"
.
+ Hfigslens De
" è +
pures seen 5e ve
|
bé
Végreviile, Alta
À Winnipeg, en roùte pour pen ‘
Æauché à -droite. À nur war Watson tnostélont à
CN Winnipeg. et É:-A: Field, ps qd du D6
ét! de la côlonisatiôn. Deuxième
KHanñgeée de ‘dévant:
Grandview, Man: E Lanan ét KR. Neefs, Saint-Louis, Sask. photographiés
et N. Shoemaker,
POUR COMBATTRE GRAVE CONFLIT
LE COMMUNISME, ANGLO-EGYPTIEN
— liques de parer au
qui menace le pays
S.: E. lé cardinal Dubois publite dans
la; “Semaine Religieuse”, de Paris, 1a
France est menacée d'une révolution
communiste.
Demandant à tous les Français <a-
tholiques de combattre le danger qui
ménace la France, le cardinal écrit:
| dialement invilés à. prendre | lLe premier ministre Akel n'a échappé
part à ce tournoi nouveau gen- la l'assassinat que par pure chance; Lu
|
|
Deux conditions seulement son}, l'entrée.
imposées aux concurrents, el é6 tuées.
20. L'envoi des solutions de-\vlusieurs prix pour le bé Durun
vra être accompagné d'un-cou-!lexposition du tétail de Chicago. S.
pon que l'on trouvera dans la | Lacombe, de Dirtiey, Man. à remporté
uel on devra !'e 5me prix: W--J. Broatth, dé Moose
son!Jaw, Sask.
1
réagir aujourd'hui;
être trop.tard Que Diçu protège ia
Frantcé.”
transmis cn Fra
vas, parlé de la man
IR RE ER
la güerfe?” ajoute le prélat. = peat
le craindre si tous les,
ne résistent pas ponr.
neur et la sécurité du, pay
che dernier,
qu'un grand nombre de francs maçon,
décorés de,
paient à cette parade, tandis qu'il n'y |tionnaires civils devront on tenir nn
avait que quelques drapeaux français.
quel Îs communistes triomphaient, ce
qui à jeté une lueur sur les copséquen
| proclamée et les troupes occupent les
“L'heure ,est grave. Nous. devons
demain sera peut-
Le maMfeste
ens
lhon-
Parlant de la procession diman-
Son Eminencé ajoute
leurs__ insignes, -partici-
“IL y ‘avait aussi, dit-il, une armée
sommuniste compacte et. disciplinée.
Elle était composée de 20,000 hommes,
: |
Paris — D'après une déclaration :
britanniques ont fait arrêter, jeudi ma-
tin, Nekrashy Bey,
ministère de l'intérieur, et Abdul Rab-
et l'un des membres les plus éminents
de la délégation naticnalisté qui a vi-
sité Loñdres en compagnie de l’ancien
-qu'on les a arrêtés.
cardin Mi est
pl qu re Ha-|
a ie
leurs: coups <
#
Le Caire —"Les autorités militaires
fe. secrétaire du
man Fahny, un ami intime de Zagloul
premier ministre. Les deux hommes
politiques <taient encore au lit lors-
où ils ont été transportés. :
prêies efforts pour
commissaire anélâis en Egypie.
Lä garde. à la résidence. a été dou
blée et des mesurés extraordinaires
: Dorénavant, tout laut forictionnaire
civil ou militaire anglais sera Accom-
pagné d'une escorté. Les officiers de-
vront-porter un revolver. et les fonc
sur leur pupitre.
Trois médecins tués
Le Caire — Deux pelotons du onziè-
me régiment soudanais, à Khartoum,
mobilisés à l'ombre du drapeau rouge | se sont révoltés vendredi et ont atta-
F Jeqüel éfaient le maÿteau et la
lle des soviets. Ils mârchaient
aux ÿons ‘de l'“Internationäle” et lan-
gaient des appels à la violence.
“Ce fut uné révélation. Le danger,
que plusieurs croyaient inexistant, est
äpparu subiténient et le spectre du so-
viétisme ‘s'est “montré à l'horizon
Combien dé nous ofit alors ouvert 1
yeux au pasge de ce cortège dans le-
ces d'une politique qui peut conduire
la France à ta pire dés cätastfèphes
Le communisme serait là ruine de ce
qui nous est@ plus cher: notre reli
Sion et notre pays. ‘ll serait pour nous
la plus grande dey tyrannies. * Le lais-
serons-nous pénétrer en France et re
ommencer les horreurs qui-se son:
déroulées en Russie?
: “Pour soulager notre conscience d'é-
vêque et de Français, nous avons vou-
lu sonner l'alarme sans retard. Qu:
Dieu veuille qué notre appel soit en
tendu ‘de tous ceux qui out à coeur
la sécurité de la France.”
—..mre —Î#
Troubles communistes en
Esthonie
Washington
‘
Un soulèvement com:
muniste à Reval a eu pour résultats |
{la mort du ministre des communica-
| tions, la saisie du bureau de poste et
de la gare et des combats dans la rue.
venah de quitter sa ‘maison quand !
révolutionnaires l'ont cernée et en
Plusieurs personnes
La loi martialé a été
édifices pubiies.
Des fermiers manitobains
sont lauréats à Çhicago
Chicago — Le Canada remport é
à
le. $mé; H Tucker, de
Manitou, Man, le 10me, et R.-D. Moose,
Donc, à la semaine prochaine dc Lauder, Man.; le t4me.-
qué l'hôpital militaire. 1is out tué un
médecin britannique et deux médecins
syriens. Les troupes britanniques ont
tiré sur les Soudanais, leur causant
de nombreuses pertes.
Genève — La Soclété des Nations a
| A la Société dés Nations
Ifecu ‘les protestations du gouverne
ti mt tt
a ————— ce mt
ment égyptien contré l'attitude de la
Grande-Bretagne en Egypte.
testatiôn signale en termek polis, éner-
ziques et clairs, l'iniquité et l'extrême
suite de l'assassinat du sirdar Stack.
Le président de ‘la Ligue, H. Hy-
mans, laissait aussi savoir au sccré-
taire gCnéral, Sir Erf Drummond,
qu'il avait reçu une copie des protes-
tatious égyptiennes. Le document de-
mande l'intervention de la Ligue dans
cette affaire. internationale.
H. Hymans, président du conseil de
là Ligue, ne dit pas dans sa lettre ce
qu'il projette de faire en marge des
protestations égyptiennes, lors de la
prochaine assemblée du conseil, qui se
tient le”S décembre prochain, à Rome,
2m —
| Le gouvernement s'occupe
de la révision de la
-. loi du grain
Ottawa — Le goivepement s'occu
pe. de la révision de la loi du grain.
| Le rapport de la Commission royale,
présidée par le juge Turgeon, sera
rendu, public dans le courant du mois;
déjà connues. Toute la question a été
soumise au eabinet veridredi et. les
pour le remaniement de la loi.
22202 —
Le gouvernement fédéral |
- désire imposer le vote
alternatif
tisfre de la Justice a présenté une |
loi semblable à la
On ne-sait pas
gène Lafour, CR. et: 4 iial
CR, seit Mn: erec OUR IN
missaire Boyce.
Appel sous
ont été RMS er lord Ak iéé
Alepby. :2.
\II faut dire que l'anpel-de.
décision de ‘la comm
ile de Brâatt
fa jm rss éprès voir 4
de- la "question prinfipale du
différence des taux,
La formule suggérée [
est comme suit: “La «
éhemins de’ fer. peut-e
fixer” des taux à étre ai
chemin de fer |
dessus de ©
dont parle
patut: MM: Qecrges
La Pro | gmfle” Picard et sant
été élus membres de
Il ccédent
sévérité des demandes anglaises, à la so mr Pierfé
caisse.
champion lutteur euroÿéeh de: 11
1913-et ‘uspirant av titré We
du monde, vient de mourir.
MOSCQOU — 0:M
gué à la conférence de’:
viétaire en
mat à pris le
mée française du “Hhin, en.
| ment du ‘général Degoutto.
| BELFAST
| été condamné à un mois de prisan |
LT dd
‘und
a
PAR 1 Los
— ‘De Valers, qui svsu
ler novembre Dour être entré
| territoire de l'Ulster contre 14
| se des autorités, a été relâché
di matin et escorté jusqu'à la
| “FAms — L'Atidéaile des
on croit que les grandes ligtes en sont me a cd et EE
11.500 francs, destiné à
premières dispositions ont été prises | ‘18 personne qui; par des
| son engelgneiïent, aura
| bug à la propégaiion 4e
| primaire”.
PARIS — La Ligse.das,
‘| élu pär acclamation Key
—— ——
| Milierand au poëte, de ps
Ottawa — Le gouvernement fédéral | raîre et le général
introduire une seconde fois, à la pro-|élu présidènt ‘en.
chaine session, ‘une loi imposant le | Maurice PAP Et
vote , alternatif” On sait que le mi-|
“.
bn 444
MAKION — Florence Ktag
dernière session, | a ‘été iuhuiée. à fé de 08
| weis Fa shanéquaée après la promise feu le président ca
metière de Marion, —-—- 48
a “'
“ Co Métis: AT,
i | 6ÿ
, Aééhé cé «ed
2
is.
»
du, régime soviétique. Re < «or
lan Chucase ou relégué dans un- poste
dip! omatjque étranger, :
1e position de coinmirsaire des aftai-
—— es MER EE Pme
d'exemplaires. Bi les autres 4e Tastes, conseitier
res ifituirés, habilement remplie per |
on |Trotsky depuis la révolution, à ét4 d4..
1 |clärée vacaifte et les. hantes.<harg
lé Füñdien chef lui ont ét4 ténemat
enlerées. É
k À L su É Froutky s 444 condatnbé pour dei
. : Le Rte, : |écrits et des discours récents dans les
Ho - | auéts 11 glisse de la puré foi. boïche-
Viste de 1917 aux idées plus modérées
du mesh :
Un
contre Alphon-
se tiré à deux mil
Procession” me À les rues de la
‘ de comparaître, se
! volent condamnés
4 de
7° ions ‘exemplaires :
par: défaut, pour
respect à l'autorité et per-
de ia paix publique”, à onze
:: Park 1 armée de contrebai-
diers volontaires essaie actüellemer:
de faire franchir la frontière espagno-
sg écrit par Vincents
d'amende, respective- le au
TEE ne
du coût de la vie !n Druxelles, &.at-
teint son plus haut point dt |
commencement de la guerre, soit 555.
Le chiffre indicateur pour tout le paÿs
est de 529. La question du coût de
ja we prévecupe actuellement le gou-
gps à dx \+
RE et tv RS
La érise dx logement à
* faris — Tandis que des centaines
de familles n'arrivent pas à se loger
à Paris, cinq mille appartements va-
ment. ‘ Ée Blasco
pour dénoncer je roi
Leants sont conservés par certaines
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de J.-A te Richard, qui en a le contrôle avec ses associés français.
Ses manufactures sont à. Victoriaville, saine Jean et Montréal.
Voilà une industrie du Canada où. ‘une maison canadienne- française
tient la tête. k
à Ponte & Co. Magash ashion-Craf
2 À 260 AVE. PORTAGE
|
ci, fondée en 1048, avait été incendiée,
rès de Paris et qui eu est pour ainsi
IV. rebâtit sa capitale, à laquelle fl 4 le S ren Panel nr .
jéonns son,nom. PARIS 10 déc., 7 janv., 28 janv.
FRANCE 16 déc., 14-janv., 4 fév.
PRBAT TE
PALAIS-BOURBON
NE es à
tions és ei ronge à
le recofd des missions en Chine, 2! :
titulaires de vicariats on préfectères !.
ser 62 sont français. - Sur 1,490 rite
scmnaîres prêtres noa igdigènes, 6$0
environ appart'ennent à des” conrréga
Pr NA: LAURENDEAU
DES HOPITAUS OK -SEW-LURR ,
<ptetatttés Li œntnétes LE
sitions françaises. Las this province!
Login |
em, des déprilésn | à
ua-vete- |
ar : 418 à 196, sur jme. fntes- |
pellation du député Pierre ,Täittinget,
concernant les incidents qui se sont
produits äurant le défilé des commu-
: nistes, Jers dela translation des res
Paris. — Ajamirai gbésai : com. |tes de Jaurès au*Panthéon, dimanche
mandant dy de Biserte êt des for: L'interpellation donna lieu À une
ces navajes fiançaises dans lex éaux scéle violente sur le parquet de la
de l'Afrique da Nord, a été rappelé Chambre; Après un long débat; fe},
pour avoir retübe de-récevoir les dé- | président da conseil, M.. Hérriot, dé |
lègnés du-gouvernement des Soviets | clara qu'un vote opposé seraii cons |:
venus à Bizerte prendre possession des | déré comme, un. Vote de non-confiance.
débris de la flotte du baron” Wrapgel, | "M. Taittinger déclara que les net
Rage la noùvelle que l“Echo de Pa- dents. de dimanche n'étaient
” recoit de son correspondaüt. Ce!ni moins que des. saturnale "Févol
ae ajonte:- | tionuaires, que le général Nollet, le;
“Une propagande communiste parti- | ministre de la. guerre, avait été obligé
culièrement violente, fomentée par le | de s'enfuir afin d'échapper à la ma-
vernément de Moscou,:se poursuit uifestation révolutionnaire. ct que
en Tunisia Elle a pour objet de pro-|Passants furent forcés de saluer le |
voquer une insurrection des indigènes | drapeau rouge. x |
les |
. Fa lé Protectorat, et l'arrivée de laj 12 tumulte êtait tel, À certain mo: |
commission soviétique ne pouvait que | ment, que le vice-président, M: Buts.
{lui - donner une : noûvelie impulsion. | SON, allait prendre son chapeau pour
posa l'opinion de l'amiral, qui d'a | | suspendre la séance, lorsque M: Her-
pas-voulu recevoir sur le territoire où | riot.se leva pouf faire quelques ob-
“]is'eserce son commandement des per-|rvations sur la manifestation. A
sbr avis,-on a beaucoup exagéré les
désordrès commis. Le général Noliet
n'a pas pris la fuite. Il est incapable
de fuir, dit-il.
Le gouvernement a “rospoëté la loi
républicaine qui tolère le drapeau rou-
ge s'il porte des inscriptions.
“Le gouvernement, ajouta lé premier
ministre, combattra le communisme
Nous sommes pour la république avec
sonnages dont la présence encourage-
rait cette propagande, fussent-ils inves-
tis officiellement par le ministre de la
marine lui-même, C'est alors qu'il a
été “rappelé.” ‘
—— 2 —
On ne veut plus de la re-
présentation proportion-
nelle en France
s avons confiance dans la vertu du peu-
ple.” |
— 22 0 —
Le beau travail des
rançaises
“Pañis = — De 1903 à 1923, fa Chine a
passé de 783,000 chrétiens à 2,208,000,
2,600,000 peut-être si l'on tenait comp-
te des catéchumènes.
11 serait intéressant de faire la part
de chaque congrégation ét de chaque
-| nationalité. , Observons seulement que
sur ce. dernier point, gvec les Mis.
sions Etrangères, les Lazdtistes, 1cs
Jésuites, les Franciscains du C'häan
|tong, c'est encore la France qui tient
Paris — La commission de la cham-
bre des députés qui s'occupe de réfor-
me électorale a rejeté le principe de
la représentation proportionnelle _z2t
adopté e Ja majorité, qui
consiste à élire un seul. député dans
chaque circonscription.
ions |
= —— mr
Le prince ira en Afrique-Sud
Londres — On annonce officielle-
ment que le Prince de Galles partira
de l'Angleterre vers lé 25 mars pour
un voyage en Afrique-Sud., En route, |
le prince visitera ia Gambie, Sierra
Leone, la Côte d'Or, 1e Niger et l'île
Sainte-Hélène.
A —
Huitième centénaire d’un
Pape français DODDS
KIDNEY
Paris.— Ce Moisti-on célébrera s0-
lennellement, à Vienne, en Dauphiné,
le huitième centenaire du Pape fran-
çais Calixt& II, qui fut archevêque Jde
cette ville.
Ce Pape, qui s'était appelé dans :'e
monde le comte Guy, était l’un des fils
de Guillaume-Tête-Hardie, comte de
Howrgogne, qui fut l'un des plus fidè
les’ défenseurs de Grégoire VII contre
l'empereur germanique. J1 vit le jour
dans'le Doubs, au château de Quia-
geyr.
Le nom de Calixte :I est bien conuu,
car c'est oe Pontife qui réussit à tér-
minér la redoutable quérelle-des inves-
titures, entre la Papauté et J'Allema-
gne d'alors. :
24 2— —— ,
Christiania va changer
de nom
Les Pilules de Dodd pour-les reins
‘aident dans (outes les maladies du
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peur invalhidés. M, J.-M,
‘hopédiste.
s
Christiania, — Conformément à la
loi votée par le Storthing le 11,juillet
1924, Christiania, capitale de la Nor-
vège, portera, comme nous l'avons dit
alors, le nom d’Oslo à date.du ler jan
vier 1925. “ÿ
En réalité, ce n'est pas d'un chan.
gement de nom qu'il s'agit vraiment.
Christiania, dont on a fêté le tricen
‘fenaire cet automne, avait remplacé,
en 1624, l'ancienne capitale danoise.
jui s'appelait précisément Oslo. Celle-
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“de deux mécaniisnies péincipaux: un grütid Comité: directeur
-‘Aaires.
= Le But poursuivi ici est de donner à nos écoles, publiques cet}jEt c'est daus l'une de nos ‘pfincipales
quisen sont encore dépourvus.
‘raux ungluis. res droits sont ac-. Une
cohtre l'atsrut du tant fiéais qui v
téer. l'école” nentre, Voici .uñ résumé. des: délibérations. ‘di
au? ‘nañtimiément, disent ii ape ddtsembtéé a adopté des 12. tendre - 54% Canaod
vôéuxr relatifs à | la: conettittion: dans chaque localité où il n'en{tut l'abbé in Morin, fils de Noëi
ne des til sl
‘ques . se “héjoute. .vous
LaVoir chôtéle pour pars: * ri . En
effet vos bonnes
fr pr tes, derniers v3
la saison. Ils s'en sep nf
l'amour « et le dévouement que vous
portez à l'enfance. Aussi il’ ù'y a pas
de doute que vos paroles n'aient reten-,
ti, selon votre désir, dans le coeur de
toutes les institutrices désireuses dej’
‘remplir plus dignement leurs devoirs
d'éducatrices k F:
Avec “vo, Madame la. Présidente,
nous prierons pour avüir-ln lumière,
la force. le gpurige. Avec vûus nous |
aimerons notre “Bulletin”, nous tra:
vaillerons à le rendre de plus en plus
dôtre ‘par ne coopération active et
dévouée: nous en serons les zélatri-
ces et par là nous aiderons' grande-
ment à lFoeuvre de l'éducation dans
notre chère province. S
Avec vous, nous serons pour Nos-
seigneurs“ les Evêques, pour Iles pas-
teurs de nos paroisses ce que nous
devons être: des auxiliaires modestes
toujours s au traydil et à ia |,
pétiie. : Avec #ous/ naûs vivrons pour
les enfants qui noys sont confiés, leur
donnant l'exemple: d'une vie vraiment
chrétienne...
trüile. avec méthode des devoirs, de ses mm es. contréléra
étroitement l'école, ne laissera pas passer sans protester le
moindre manquement aux lois, usages el traditions qui guran-
lifônt la liberté des catholiques alsaciens, el signalera les man-
qüements qui viendruient à se. produire. au € ‘omilé dir: ctéur
de la Ligue des C ‘atholiques.” “ :
Comme oh peut le voir, le rouage ‘dé défense est composé
l'ohictiôn saéerdüïale dés Mahis de
Mer de Laval, le 29 septenibre’ 1663.
Aprés avoir 616 décrélaire de l'évoche,
cüfé de Sore}, de la Pointe äux-Trén-
bles de Québec, de Repentigny, de
Sainte-Anne-dé-Beaupré et, .enfin, 4
Saint-Michel-de-Bellechasse, il fut npwm-
mé chanaîne de la cathédrale da Qué-
bec, où il est décédé, en 1702, à Fâga
dé-soixante ans. Il était Je frère de
Soeur Morin, la première Canaüienne
reçue à l'Hôtel Dieu de Montréal, et
dont elle a‘écrit lès “Anhäles”, si in
téressantés et. si précieuses pour 11
primitive histoire de Ville-Marie.
Bulletin Eucharistique.
’ 2-4
La Semaine sociale de 1925
aura lieu aux Trois-
Rivières
Montréal C'est chaque, année,
comme on le sait, durant l'ôté que les
Semaines sociales du Canada tiennent
leurs assises. Elles vont ainsi de ville
léur visife? Plus ou mofÿh,. ou plus
que moins d'entre eux, d'äprès les rap-
ports des officiers des bureaux, des
Ygents de gates et. d' après LU “enqué-
tes personnelles sur place
. Les raisons ou prétextes, en plus d'un
, sont: lo. Température, la piuie
occasiondant dés retards en soût et
septembre, par conséquent pérte de |
temps, d'argent, ete. 20. Salaires
payés qui ne Ccorrespondaient pas à
l'annonce faité de $4.00 par jout pen-
dant 90 jours comme moyÿenhe. etc.;
30. Où est venu trop tôt. la récolte
n'était pas prête;..on ne voufait pas
nous engager, reténir nos places: ous
avons €té mal traités, mal nourris,
ets.: on a dû coucher aux meulons de
paille ou dans Jes étables, ec.
Le plus étonnant .là-deduns, c'est
qui y a ‘du vrai, mais très pc, une
pincée... Ce qu'il y à de plus éton:
nant encôre, mais Qui n'étonne ‘pas
ceux qui sont au courant, c'ést qu'un
trop grand _ nombre de-ce+ -moi#sou-
neurs, de retour chez eux, vont publier
ef des Comités paroissiaux. Le Congrès dés Alsaciens veut
que-ces Comités existent dans chacune des localités de l'Alsace.
I lés veut bien vivants, et, pour cela, leur nil objec-
tifs: l'étude et action. |
L'étude fe ‘ra Ja lumière dure les futciligenoès, elle s'rvira
à faire claire ment connaître les droits des parents en matière
scolaire. € "és sage; avant de pouvoir poursuivre un objectif
avec ardeur et esprit de suite, il faut lavoir aperçu claireme “nt
et en comprendre l'importance.
= De plus, le Comité local devra surveillér de très près ce
qui se passe à Pécole. Y découvre-t-on dù nouveau, le Comité
local doit immédiatement en informer le € Comité central afin
d'aviser en commun aux remédes à appliquer à cette. situation
locale. memes |
EN oo gum me
. ; ; : . Oui, “Bursuni corda!” Nous somi-
On dit ailleurs qu'en Alsace, à propos d er dtüttion hlen ville éclairer les intelligences et à tous jes vènts leurs griefs contré es ‘avec + Celles qui oft pasié | *
. nt ant { ‘: à $ ne
peu, près idénlique: “Restohs siür-nos positions”. Pour .cela; [orienter les Folontés vers El later nd ne haDilaats. contre le | onrte dahs. l'enseignemenit
Ga" catholique.
‘été ‘dernier, à. Sherbrooke, at
on! pe ‘de la “Propriété” dévant de
mäguifiques auditoires composés de
l'élite des prêtres et dés laïques du
diocèse, sous la présidence du Délégué
apostolique et de plusieurs évêques.
: " ‘ L'an prothain au mols d'août les Se
Le but ponts par les Alsaciéns est d'empécher le SOU-; maines sociales ‘s'océtpéront d'unsu:
vérneiment de remplacer Fécole € catholique var l'école neutre. {jet non moins important: la “Justice"/
climät, contre la boïsson qu'ils ‘auront
trouvée frélatée. contre l'eai qu'ils
n'auront pas buë, contre les Zag?s
qu'ils n'adront pas pu imposer cette
année,//comme d'habitude. FE
Jusque "là, ce n'est pas - extraordi-
näire;.mais le pire de tout, c'est que
ces misérables seront crus sur parole
et leur “propagande néfaste, fauss:,
injuste, ira son chemin et fera boule
de neige avant d'être rendue chez le
quatrième voisin. Cépenñdant que ce 4
malheureux trompés n'auront eu qu'u-
ne pincée de vérité pour uue poignée
de mensonges. et des mieux condi-
tionnés… F
Trop heureux FE OS grands quoti-
diens des pro eVEst ne sé font}
ns t 4
pas, l'écho des: ‘Jérémiades. lamenta PARIS ÉENRRRNUES. PAR EUR qué
leur porte devant Dieu yné amfé sin-
Uons, objurgation même de certains | rl
CETIITS e "e F e-} VO :
pos urs ou critiqueux” en mal de r ! Et moi ‘je crois pou votr
uommée à leur manière — chose que
RARE : |me tromper: ‘Partez; gutreg”
d'os jà vue. que nous avons | dictée par mon coéur. Cuak
es 1 point D et mais | | bonne présidente et dites-lui l'affeÂtion
1 rst impossible de contrôler par profonde et sincère que lui porîent
|
tout et pa » «
out et de détruire par une simple rec- ‘avec bonheur et fierté les institatrids
créons. des + Comités paroissiaux. qui s'occupent activement des
affaires sénlaires dans tous les NN Si. manitobains. On à
ajouté: Avant, de faire un pas en darrière, consultons l'Exécutif |
du Comité général qui s'appelle’ ici l'Association d'Education.
“Lc rapprochemies nl nous parait suggérer des réflexions salu-
et qui vous ont vue fle plus près sa-
vent combien vous devez parler
vous qui donnez ‘si bien l'exemple
d'une vie si dévouée à l'enfance. ;
Bes-pius jeunes e1 Teles qui "Ton
pas eu occasion de vous connaître ne
tarderont pas à apprècier votre zèle
et votre dévouement. Et ainsi, toutes
groupées. autour de vous, plus unies,
dirigées ‘par les conseils du R. P. Di-
recteur de: notre Ligue, nous ferons
oeuvre plus durable pour.la g + Au
bou Dieu et pour le bien le mob “fers
enfants du Manitoba.
Vous disiez dans. votre bonne jet
tre: ‘Partez, chères lignes dictées
neutres de par la loi. une utiosphère que puissent respirer Tès Mr ue Ke re ss le Les
atronage de_S 2 er. ou-
à Fr pour EUX.
enfants catholiques et français sans {rop de danger pou UX: lier, qu'apront lleyAes réunicus. On
Pour cela il faut faire comme en Alsace: 10, étudier: 20.| peut s'attendre ÿ/ce que la Semaine
surveiller: fo, se tenir en contact constant avéc l ‘eOCIAHON sociale soit digne de ses aînées.
centrale. ,
Ce qui Uxiae ici procède d'un esprit d'organisation pra-, L’ endroit le plis ‘chaud de
lique ct'avisé, Infuser plus de vice aux Comilés paroissiaux- re l'univers
marche, el conme
en fonder dans tous les cendres!”
Voilà l'objectif à atteindre. cet
Personne n'a ie droit de se récuser: la cause catholique ctf
francaise exige le concours de
jusqu'ici et l'effort persévérant de ceux qui sont-auu |
cn'Alsace,
Londres - —: Jusqu'à. récemifént, la
vallée 4 de la mort en Californie, où
une température de 1341 degrés à
tous. ceux qui se sont récusés | lonibre fut enregistrée le 10 juillet
ravail}1923% à Greenland Ranch, était
J dée. comme l'endroit le.
regar
plus chaud à»
tt mere mratienentren gért-r etes pete
s la premiere heure. LT tification des faits. . |
ApUE rl / PERTIX AN [a lerre. Dr pour remédier, en autant que tholidhes- du Manttoba ”
\ nl DARE s x : +1 : dier, € é & a
‘ Î PRE ie —. de la Sociè $ pd : ne LEO A Albina BARIL.
= faire se peut, à cette mauvaise anno-t
_ _ } Institutric
ce, pour en atténuer la portée 6t co
battu À Azisia, établisss ment italien
i 34° {| per les ailes à de trop nombreux La
dans Ja région semi-déserte du nord de
nards-- à ces:canards hors saison
Lies à environ vinét-cinq millés il is dre ne “4
e 2C e eurs 1]
Fan sud de Tripoli, où. le mercure 4 y ë e, les ex ior
e vers l'Est à prix réduits. Les annou-
marqué 136.4 de °
pp Mr cesaffichés sont déjà fisibles.
LE STE FN DE | Mn rame tas
“Alber-| PE, Lessard, qui üccupe na
Nos compatriotes de | L'‘Aimanach de là Langue f
e OU Gas <
attendent, axec_une_ ynkicté. guére le poste de M et $ +. voit partout -dans- les gares, trs bu le” de 1925 est paru. 11 promet V'étre
bién®- tégitime, Hi Fes ion lprovinciül. “Le pat communiste = |reaux, sur les journaux. C'est par ces hün franc succès.” La matière e est
d'un successeur au re grett: sé- Mais voici qu ‘une étrange ru- | : 2 ‘Canada excursions de visiteurs de l'Ouest qua , [ietie $t substantielle. . 1] ne manue
nateur Côté. meur nous artiye d'Ottawa. On ——- nous devrons corriger la inauvaise in. |ra pas de plaire à tous + petits
Nous avons déjà reproduit dit que le gouvernement aurait | Calgary - Le parti comuiuniste du | pression des excursions de moisson-| grands, gens de la ville et de la can
ua article de l'Union, d'Edmon- l'intention de donner le sig !(unada, constitué sur le modèle de ce-Éneurs de T'Est. “Simiilia similibus eu. pagne, professionnels et commerçants
ton, qui établit clairement leurs au ministre actuel de linté- lui de Russie, s'implante-sérieusement | rantur” ; e comme on peut le constater” par :à
rieur. M Charles Stéwart.. La! 1 mouvement travallliste du C'a-
combinaison peut pes fort | nada, et le Dominion court-un danger
de
droits à çe siège. Le raisonne-
ment de pôtre confrère est d'u:
Ce sommaire que voici:
.. Au delà df cent photographies di-
verses, ent
sera le sujet de l'article suivan:.
J.-A. NORMANDEAU,
: . a 0] sS RE
ne logique lumineuse ct d'une ingénieuse : certains " Nr 'annlogue à celui qui mi l'Italie, au fs, Prêtre colonisateur autres: les prih-ipäux
solidité inattaquable. Les Ca- jongleurs po Nues . dOtaN org de la.ruine avant Ste —— 220 0 — — ljournalistes catholiques du pays: les
adi | i ù ‘ ä onne pe- re. nesere — ! ? #
uadiens français de l'Alberta [te personnage d'une des Fakcisres. Tel est du mois l'avis | L'émigratio : joue |enefs de roupéments nätionaux; Jes
tite position à vie, elle Le déli- Lis sajor général Grlésbach d'Edmon migration britannique
ont un représentant au Sénal derniers monuments inaugurés à Qué-
depuis la eréalion de leur pro vrerait Fun grave souci . 8€ ton. qui a porté ja parole à L'Aiberl | EU Au” cours de l'année [der ete. etc.
. pe . : K +, ñ & « QU : = à Ni : °s Ù ” ——. . :
ALLIE lrois des leûrs ont ainsi aire € pre dans $ pure INCE- Military Institute”. L'apathie Î | 192%. 212,904 personnes âgées: de 1} Douze esquisses du Pare Lafontaine,
océupé tour à tonr cètte impor. [Mais il y u tout de UNC l'ynorance de l'électorat seraien: par un jeune de talent.
limite à se payer la tété du po-
,
'
|
Re et plus ont émigré des lles Bri,
lanmte char ge. L'année dernic- de la situation qui existe aüjou ui. ls dnniques: 120188 hommes et 52,72! De: contes délicieux par des stylis-
re, à a mort de l'honorable M pale. : w 4 son UE SPORE Pr Me
Forget aütuiquet devait sucec- M. Stewart est actuellemne « . | “enr Jes 120,188 hommes, 75.456 Sont Une saynette de urie Cire Dave
der l'honorable M.. Côté | député d'Argenteuil. C'est a 3 luy.
Un aviateur inéoue fravcus étabiit | ais dans les payk d'Embpire, 51,521
erbialr
ui nouveau record de |aux Etats-Unis et 2}911 dans les autres
ssive
ve à la générosité. proge
avait été un moment question
+ d'aucuns disent exces$
Une vingtaine ‘d'articles de fond
"d ‘offrir le siège à M. Frank Ofi- A : sur des. questions religieuses, . natic
ver, : Mais TS avait ce rit | des_-Canadicns français Le I a vitesse ren ne era eme | ses nales. artistiques. littéraires et
immédiatement dans son jeur- [DU acccpler un. portefeuille à ie ; Fanny à no pe TT CT ques, étascmiqués — parles mes!
pal: Ottawa. Mais lentrainerent! Paris L'avigteur ‘Pons ir avec 5 R mécanique. 8.471E
“Si les Faisons qui ont fait ieurés plunbsx du pays: l'aboé Groulx,
élire en 1905 un Canadien frun-
cais au Sénat etat ht bonnes et
étäient des agriculteurs, des corner
Gants ou des professionnels et
aéro} plane aimpéibie
550 chevaux, a
qu'il subit comme représentant {un nouvel
des électeurs : ançais du comté [d'un moteur de
muni.!
bris 11150
tole Vanÿjer, A. Läureudeau, Noël Ber
FE j ss 1e l de. talent des journaliers |
satisfaisante S: # les = Le SOI C1i- d Arge ute uil 1 [x u pas el Porc 1" re ord de ?a vite ve pour > | Fur Sür les 82,721 fe: ! nier. l'aÿbc [e) Mauirault, J-B Lagac:
core aujourd hui. VIA Hu © pu qualifié que nous ss Dons |pblanes &wr la distance de 190 61 200 È 2,72 emmes de 15 aux et Lois Didte De-L Cuuvies ni
s 7 J « auvrealu abbé
de change meñt depuf: pe: ere pour représenter au Sénat [iomètres, én portant une charte de, plus, 47,681 sont allées dans lex pays DU RE dut à
« s $ il 4 R , 2rrier, -E ruchési, { ‘
fasse qu un re prese néant « . t- ile s Canadiens franc ais de-PAI-[1060 livres Sa viteise moyenne pour | d'Émpire 823: aux Etats-Unis ci Un sketch d'Henri Letouda .'
. les 100 kil nd été un peu au, =""1" d2D8 les autres pays. _ ER sé ;
dien -francais au Se nat soit | | berta. Le SR ane © ss as Des .récréations _instructives ” pour
L'estime que nous avons pour! dessus de 192 milles à l'hepre «pour
gouvernement Mackenzie [iles 206 kilomètres un peu ane
la du méme chiffre
moins désirable au point de niv
les enfants. qui pourront aussi <ervir
national que cela ne fut en deux
pour les grande p-rsoune:.
le
“ous
n Y A 50 ANS
vecasions précédentes.” King nous autorise à croire RE | Dés miettes géographiques. *acnti
Fi Inion conclüt fort jusie- [rumeur saÿs fondement. L'été: ee — , nn - Sade su Hdrairée
nent : " ment français des trois provih-! La population de la ville ‘ Extraits du ‘‘Métis’’, Auecdotes, mots-bôuf rire, mots d'à
“Si lChon, Frank Oliver pieces de l'Ouest compte sur In d'Ottawa 5 décembre 1874 tre, chansons, ete, ete, ete,
nul bon ouvriér du parti libéral {nomination prochaine de M, ee Fe hs . Bref, j"Alhsnseh do la Labgre fran
11 “élan mivur qualifie pour l Le ssard. s ; T4 O'tawa Au vours de ! murrdes | Nouveau Ministère «aise de 1925 est une petite eneyclo
roste s'effaéuit aïnsi l'an Donatien FREMONT. niére, l'évaluation foncière de la ville Le iniat CHOSES for pédie” nationale Do
HYERES devant les droits de no ST 2m e——— d'Ottüna a augmenté de deux ibillions 2 QU ATETR raie Nous défions qui que ce soit de uous |
tre race, c'est donc que, mémr Monnaie peu hygiénique poids le rapport de M. PH. Veale indiquer. une Datre publication gyant
aux yeux des. meilleurs libé- tr vajuateur municipal Le chifire uue Collaboration aussi distinguée, uns
1e lequel l'hon. M Royal deviest
tal de la vaieur des proprités est le :
A:
#117,723%,424 alors que Je chiffre
abondance de :matiËre aussi complète
pour le prix populaire de 25, sons
botine purtie du paple monnaie.
pa ciréulation est devenue une Imènare
ministre des travaux publics. 1
quis, justes, et doivent demeu-! el instrbetion publique et socrétiiré 5: c 25
üu pro
rer, ls sont l'honneur et lu là Fusgiène publique. suivant une r< dertiier, éiait de #115815,/715 La Po | inciul C'est cu qui explique que plus de 250
récompense des grands et dut- | siution adoptée par le conseil de ‘4 Pülation d'Ottawa est, anjourd'hui, d= Qu: roro: ft à l'añcieu abinet 000 peronnes diront VAlmanach de
< * 1 $ ‘elle éts VA 2 n | * : F * ? # < ù à
rables rabuux des pionniers {Chambre de Commerce de, Winginpes LIS.0SS alors qu'ell était de 117,259 e + | d'avoir un prewsier ministre à lu° Langue francaise” de 1923, “le roi |
franc dis d'autre fois, des piua- | lui sugzère que Je recereur gén éra 1953. soit ude augmentation de K49
« P hate” À
| |curéur général de lângue frunçai dés almauachs". fau: Canada et aux
nie ts franc ais d'aujourd'hui, !innce tue nouvetie émission dé pabier ‘ Lé Population actuelle de lu capitale Fu Girurd et ny: > Etats-Unis.
dans notre revhoe d'Albert"! monnaie est supérieure à ce Chiffre iar le ze « *\ Qi .* 2e
Nos compattiotes sont d'ac- | 6 20D8-2——— l'censéweñt s'est terminé le 15 septeni | Dés RON M sont ‘ ratès düfs BORDEAUX — Le vapeur belge |
cord sur le: nom de Fun des! LONDRES — Le: due ‘et la duc hesse | | bre, et depuis ce te mips.énviron 300 fa-| diverses
leurs qui les représentera di-|de York sont partis nd, pour l'Est | | milles sont de rbtour de leur vilegte” | Québec
“Gypéis" à fait naufrage à lembouchu-
re de là Gfronde, Le sort de l'égui-
|
uu mols
[de juillet, démissionne, 11 est rempla
cé le 3 dé cembre bar le cabinet Davis,
a province te
Unis pour ventr
gmement au Sénat: , l'honorable ! Africain |tute _,* [vu aide la famle Lépine. page est inconnu ; .
' EE . k « { 1
ds. 0 » : : ) RE » ie M t
n.] “ * 4 : É*
M 5 \ $ é" LU à ,
‘ : g : / ; “ x si $ DM
« N ml "] ‘ | «!
me 5 Le Devoir (Omer rh
-séquemment. et politique dé set
rassa ä porté, avéc des Parois d'es pé
ar mpn coeur, dites À toutes les ins-
Pierre Homiier, Olivar Asselin Ana a"
tres intermédiaires. : “Liungänisat ton QE.
Sur Club”, nvèc ses clubs dane
que-ceéntre condfdéta be à: jar 4
peut aidér puisenninrent rio
en <onstitiant coux ét en toi Es pt Are
la discussion Franche des Lu Dee
contfverstes. Nous esçtrons que M°
Bourassa ne sera que le premier d'uné vos
série d'oratetrs de l'Ést qui me gs SS
péséront avec. vigueir et 1'Wodrité) | "
leurs opinions qui sont celles de’frou
pes de nos cônéttoyens -cauadiens, 67
RON
La politique d'opposition à d'impé
iisme est une politique “nationale”.
C'est une ue “nationale” aussi.
essent que la politique de dé-
fense des droits dés minorités, Poli.
tique de justice, politique de paix con-
LEA
future.
‘M. Bourassa &, ébiès à. ses audi-
teurs de langue anglaise ces vérités
+ it
salutairés,. avéc beaucoup d'autres. [que l'Ouest, de fou côti, chverra 2" RTE
On peut espérér que, tôt ou tard, el- | misslontiutres gt sus avacute pour fai:
les produiront loùt eflen. Mais, en:|re conhatire son point de vuiù per À
attendant, la minotité tränco-catholi- les protinces de MEst L'quté réelle 0:
que devra patter ét se défendre. Elle | doit répôsét sur l'ettouté iobte du
le detfa toujéurs, iñême si un jourile compromis et non sûr da sou:
lou l'autre tombent les. lois ‘hostties, | misélon abiécté. de quélquex tions
car élle aura toujours à faire ;
la difficile situation d'un pay: mixte
et aux causes de falblésse dont toute
race porte le germe. k
nos conipatriotes donc, M. Bou:
paÿs à lautérité d'autre, “setios
parce que Celles-xi ont la pr “dominans
een population ‘en riedéske Kf pour
Je momen!. en panases potinnue.
Le : vo age æM. Mockensis
ing dnnÿ'l'Onet
‘1+ ‘
Lx premier minlitre a con tuts, ui,
fois de plux, quelles immenses esbé: pe
raäuces ‘ces riches: -prorinées” contré “à
aa'out en germe et qui défi 'épañouis. €
#aient en fruit imagnitiféente gratte à
aux. éltons Wire bopu'atiéi" Ghori-_
Que, aux bras ©! eu Cour robatos,
‘bien déteriithiée triombliér ia us
lcs cbstaclés, 0 orné
Peut-on s'étonnèer et, he e toute,
“trouver à redire si, partole- tous cons-
‘[tatons par les 6ch6s qui noux arrivent
de l'Ouest, que ces hardis pionniers.
ont la voif aussi robuste que les bras 4
le coeur!
La visite. que vient de erniner je.
prewier minis re #valt pour objet, tout
d'abord, de prendro. contact plus inii-
me avec Üés populaticifs de l'Onest, À
d'étu@èr sur place leurs problèmes, È
d'éntendre" leurs vues, de çonstater
leurs bésoins et leurs ‘aspira di, 0e
C'ést là, évidemment, pour eu s
incombe le devoir de ve ile r à as
le ,coptentement et la pronpéril
l'ensemble’ du Cunuda, . me
moyen de’se mettre en mesure 4
complir effencement: ea térhe. LB.
Mais te voyage avait égulementeun :
autre but, qui est le complime
cessaire du premier: celui de p
rance, des conseils d'énèrgte et de
fidélité à nos doùbes traditions reli-
gieuses et uatiohalës. 1} leur a rappelé
‘les conditions essentielles de là force
et de la grandeur, et la suprêrie blen-
faisance de l'Eglise.
L':De ce: nouveau témoignage d'arden-
syrüpathie, là minorité ne lui saura
moins gré que des plaidoyers qu'ils:
à prononcés pour elle devant les An:
7. “protestants.
À
La succession du sénateur
Côté
Le Droit (Fulgence Charpeutier):
La Prèsse : Montré:
Voici maintenant que lex rumeurs,
1 -confiées à la. presse
veulent nous laisser croire que le suc-
cesseur de l'hon. Jean-Léon Côté, aw
Sénat, commé représentant des Cana
diens français de l'Ouest, ser l'hon.
Chärles Stewart, député Argenteuil.
Ce mitistre, cfu par ‘la condes-endan
ce de nos -compatriôtés das la pro
vince de Québsé après avoir été re.
poussé par lire dès siéns days la pro
vince d’Afberta, prendrait maintenant
le siège d'un des nôtres à la Chambre
haüte- :
Ancien. premief futadètre . de su pro:
vince, battu aux: élections fédérales, :1
cralnt, paraît-il, de rétourner aujrés
de ses électeurs, et'chércherait des ré.
le
Eions plus tranquilles et plus sere ines, | térfaux provinces de l'Ovest les à |
moins exposées shrtout aux contre-, @l Les aspirations, conune aussfles
coups de la politique, au Sénat, et ‘il bédoins des ant res pravineas du
déplanterai:, cette fois, uu Canadien | nada. ie”
français pour s'y introduire. | . Nut, miehe-qué le pui “filtre y
Ce serait vraiment pouéser trop loin | du Canada, n'était désisné pour cette
l'impolitesse envers notre race, et nous | mission d'inté frét natioua)l, qui cenxiste
souhaitons pour le bon rigoim ‘du gou- | à réaiffver, par uné couiprélension de
| vernement qu'il évitera un faux paalces problèmes divers, le Loneorde et
aussi malheuréux, "car ce fubx pas {la confiance réciproques, £azvs nds
pourrait fort bien le fatre trébucher | Pensables dé cette unité nationnl&qui
dans Fabtme des élections prochainés. és: le premier ‘fact tour, ete QIULE 11
ee — | Sérieux. pour asseoir Eat D. Ca
L'élection de Hastingr jade.
7 |
La Presse (Montrém) : | LE PER
La victoire de M. Hanna, le caudidat
fbérui dans le comté de Hastings |Un tiers «
qui“n’
pas de la
blanché, rénace les
autres tiers |
la Confédération, les conservateurs ont | nv
Signification |
e méconnaîitre À
Dans ce comté ontarien où, depuis :
toujours été malirenexceuélon faite parie ji ATRSet BRTTEUE “4 É
un terme, CeMi de 1878 à 1882: Où., ministre dés colonies, ancien gouvers
depuis 1882, aucun libéral n'avait réus : jour de l'hido-Chiñe et meute dé sd sr
si à se faire.élire; où le candidut cor: | 44 ‘légation française 1! ua
servateyr, M. Porter, avait préafable | de Wäghington sûr ie dérärmé
ment remporté le siège dans six ëlec-! on 191, x jeté un cri d'alarme dev
tions consécutives: OÙ il avait, la der L'un auditoire distingué, à “Paris, en
niète fois, remporté là vicioire avec! cjârant que la vérituble menace por 2
une majorité de 1,179 .
voies | avenir étah ohez les peuples.qui ne æ
qu'hiet le caydidat libéral, M. Hanna | sont pas lang et. forment te-tiers te br
a été ‘élu ave” une majorité de 455 ia population du monde, Aix die : Là
voix. « eye ; | : Pébvine ne__ peut: pethetéghins
Ce résultat dénote.trop cléiremént rayer aux préparatifs qépilalt le Ja-
un revirement, de l'opinion publigte | pou, à là tête d ”
L 4 : du bloc «sie e tre ds
Ê dont 2
:
_ pe peut pas ne pas tenir] lle: “pl 0 europsen" M. 'Sarcaut FE:
mp que les esprits airs dant Ai JA ot
Au point de vue purem#m politique, | aux Etats-Unis: Zvtéront un cpuflit “s
nous j'avons point à tirer des conclu “eruit bien re Lu -mible dau ss
sions mais le gouvérnement est en fie
‘18 sur ‘te IL0ûde ue le fu la guerre ù
Lde 1914 dd
TM. Sarruul a ajouté, “Uu constant
la Croissetuen, des peuple “ de coul@ur ‘
M. et la tiscusslon | a placé le centresie l'inporiante moh-#%
| dtale quelque pari dlans l'océan Paei- À.
des. problèmes nationaux { aus et' une lutte volomule pur las
Manitoba Free Press { Winnipeg): | contrôle, de. cet #Cfan se déroule 2 en |
Henri Bourassa, la semaine, dérnii {tre le-Japon et lés Etrte-Unin” ° M bit
a été écouté avec atteution et cour. | Sarraut porte à 250 millions d'habi- +
par, de nombreux auditoires à | tants la population dns peuples de goy- LT
Witigipeg Notre villgÿ à ube grande |Ïfdr, sur un .totét de :,750 mALige ses
| largeur d'esprit; il existe bien üne tex) d' habitants JL Qi que lex peuples on
dance. à refuser l'expression d'options | | couleur. ont appris à connaître, feur@#
| puissance du fait de la kugrre ét q
sont soulevés par les haies Eu 2
ses et te boichevisue ruse, 112
, droit d'épingier cette victoire
une à ardé à
corne
son chapeau ,
6
e—— —
nl re
tuisie
<
"sortant du cadre général, Affais: elle
u'ést pas doyninante: pouf remarqgius
au coptraire ua esprit- critique ne
Î du écoute, pèse et juge. Le a-1t6;, “Le reiéelemeni de la G re
| dian Ciub” ex particulier à es , | lagne er raphor: axec l'alliarié “a \
réalisation de la pért qu'il péut joue #| Gaime a 6t6:dû beuyioup plus. Ua pirgae
dans notre milieux er fournissant. à {tuation indoue qu'à out déair de (LT ES f
M. Bourassa l'occasion de perler à L .) be ver l'Allemagie” en.
wembres, et ceux-ci ont ifesté PTT PE CALONNN Où Pur
, approbation de ]a déc ; des ser : ? 2
du Club en vendnt én: grand nombre, a NEWNORK — Ou s + pu 47
L'opinlon publique doit être. créée | manche uvec smcéds Ha 77 AE
|en déliôrs des partis. et ceci ne peut | phie) par radio d'Ameens x | va &
| se ben que per la diffusion de con. | Unfs o 4
, 4 PA 2 + * v…
| &°4
4 val Hertiot a fait le grand geste
rx Vous Wy pensez pas! |
Ni mot, éntendoës acys, ai sutun au
-27 à Voës nèus conseille; de garder des an
ce Mel és vaches à huit.” Mai . pour transporter son lait à la station: cela
‘que bierfôt nous curons de . chaque mois $204. : Mais ée. n'esl pas cela: Ce
le lait? ,
venff du lait n'est pas du tout
Ltières Je pourrais tout au plus la conseiller .
à ceux qui sont près des stations de chemin de
Je Quant Q “ris ss _ excere le vous perdiez.. votre lait écrémé, c'est comme
{ vente de la crème.
À vouloir tout vendre notre: lait à une
méme compagnie, nous [erions ‘bien l'affair+
” des acheteurs qui pourraient fort béen profiter
" de l'aubaine.et nous payer nos produits au prix
* qu'ils voudraient. Pour éviter les surplus dans
+ Les ventes du lait, il faut nécessairement que. Soyez pérsuadés que plus les c ompa-
les cültivateurs éloignés des stations vendent gnies anront de surplus. moins elles nous paye-
‘ la crème au lieu du lait, Et rémerquez qüe- rent nofre lait. C'est le plus sûr moyen pour
ces derniers ne seront pas les plus mal paria- €lles de faire des bénéfices. Les messieurs qui
gés. Au lieu d'un voyage quot
slat : Foule personne souffrante | De choix ...... ANNE RE mem
idien, vous he dirigent cés inslitulions connaissent te leur 2 même syndièet avait'aussi 9: [qui essaie Les Pilutes Dodd poûr | Bonnes 23:r5t59 1 FAN #2.502-97.00 :
porteriez votre crème aux chars qu'unr fois affaire, ct si vous voulez leur envoyer des sur- missionnt ea fonds américains, àlles rognons st ravie du confort | Oraimaires esse si, pesé argent
- ou deux la semaine: c'est déjà un premier plus, soyez certains qu ‘ils ne seront nas refusés. Fer ef. Re ! de et du soulagenient qu'elles Jui | Pour conserves ..:.......981:00 prod pe
J és cherchent leurs intérèls, à nous Le produit de cet emprunt seMira [procurent si promptement. Des Dé de
és ccond ul ui ne séraït Le scompagni , 1! Moutons et agneaux— .
avantage. Uns avanlage, qui me | 4 remboursemides obligations qui vien: | milliers achètent et emploient | outons She : 45.00 SL, Fr
… nent à éch 1x a un fonds d'a- > . PA Fernimgennses Er RRE ni ?
Fe mn la deuxième lbs : exclu = Le 3 - pes Pilules unique ment sur. la
. pas le moîndré, { der votre lait, de brillergur les ôtres.
écrémé pour vos #1 ser “Je vous prie °° y dance la fromagcrié À sara
de bien réfléchir ct de bien énun
-de remarquer que jen hui , par mois. Alors ses 3,000 livres seront vendues
é de ne faire que le commerce Da pa
* du À Au contraire, je vous ai dit qué cette à $255 les 'cent livres, t'est-ä-dire $76.50 et
re a+ nee gonehs où esmndee à e
La
M. Stephen Kozak'a trouvé #ù
Ô bar due» eg dans les pilules
et en recommande l'u-
sage à'ceux qui souffrent
Okno, Maÿ.. ler, décembre
(Spécial) — “Après avoir pris
six boites de Pilules Dodd pour
les rognons, mes douleurs de
dos disparurent ct je n'avais
plus mauvaise halcine le ma-
ani PLIS Les ceui eres de scroll irès Men. |.
ss fl pourrait bien se: déranger Tous les jours|
-vatdrait l& peine de $e déranger, pour relirer |
Map'e Creek, Sax. , ç— Cinq
bres d'une bande de voleuxÿ dé ©
vaux ont reçu leur sentcné@ du juge
eü chef Brown. A-P., aid, | aux Pilules Dodd”. “
Ÿ Frank Shufletuski, Charles not C'est le témoi age de M
+ Russel: Drury ünt été condam à Stepheñ Kozulw de
trois ‘ ans dé pénitenciese pt B: Kianick | ]} nous envoie. ceci. commésii-
à vingttrois mois de prisomr. : gne %de conduite pour ceux qui.
—_— 22 D0-2—— |
souffrent. Il y a deux choses
He ne conbient | Un emprunt d du Manitoba certaines en ce monde: la pre-
d'alun et ne : : :"[miére c'est qua nous sommes
‘ pas Un. syndical financier. comprenant | |ôus sujets. un jour où l’autre
Jaisse nids
monsieur n'a qu'üne moyenne de 3,000 livres|,
‘surplus, 5,000 livres, ne. sera payé que s1%
d'ordinaire;-c “est-à-dire 860.00. . Dans cé ‘cas, |,
c'est Te gras de beurre ou la crème que l'on|
vend aux prix qu'on veut le payer. Bien que |-
l'industrie lai- :
pour-les mauvaises herbes: vous payez _ pour
envoyer à W innipey ce lait qui vous serait si
wie
LS
tes malsons Wood, Gundy and Co.. Do- | à une attaque de maladie de ro-
‘| minion Securities Co., et _Strand and | gnons; la deuxième, c'est que
" Snewdon se sont fait adjuger-hier uné | les Pilules Dodd pour les ro-
émièsion de #3,720,000 d'obligations! gnons soulagent tous les mapx
20 ans, 4:; pour cent de la. provinec | de. ragnons comme le‘ diabète,
du Manitoba, au prix de 95.021 en {f'hydropisie, le rhumatisme, les)
fôndé canadiens La province sé trou-| maux de vessie et les troubles
ve à emprunter sur-une base de 4.89. |frinaires,. méme quand d'au-
.Les soumissions ont été ouvertes |tres remédes ont été CssAavÉSs
par M. F.-M. Black, trésorier provin-|sans succès. Hé
- Mais comment se fait-il. -que les com-
pagnies demandent loujours de nouveaux ven- |
deurs de lait dans toutes les localités?
|
sivement francaise de la capitale al |
bertaine. ® : "
mortissemefñl'de d &emi pour ce sommandation de leurs amis
vérer les pirtes, des services immenses aur cullivateurs rail | i ont découvert les propriétés
que subiraient ceux qui hié-sont pas plaëés* gnés des stations et à tous les producteurs de} 5, R p ravernier. OM. FRE en | Demandez le calendrier de jcalmantes .ct adoucissuntes de
-_ dans des conditions voulues pour vendre teur lait. C’est le seul moyen, avec la vente de la! gsiñquement secondé par ses parois |. Saint- Joseph Met FR .
lait. Ê a créme, d'éviter les surplus qui tuent la vente |siens, prépare de grandés fêtes à l'ot- : rnecis Ê] 4 s cs
Supposons un homme qui vend 8:000 livres . du lait. M : ‘casion es noces d'argent de la plus | Le Calendrier. de Saint-Joseph pour ‘ LL
de lait par mois. S'il le vendail’au prir du © NC: JUTRAS, ptre. 1e d'Eamonton,. PR uce 1925 vient de paraitre! Il “]
| ee | La COUT'SO de chiens de Big RS sn “date obus: your est éerit au bus de chaque quan-
TT ‘: Pour l'honneur de la France — ea- * à River, 8 Sask. de } Sainte-Famillé au repos, à Nazareth?,
UN JESUITE ANCIEN COMBA ANT | des ous ce mot comme je Y'en ; | est un, véritable chef d'oeuvre. Quant
| tends? — pour l'honneur de la France,| pig River — La’ quatrième ere au calendrier proprement dit, nous
PARLE ENERGIQUEMENT A HERRIOT ie nous ne dirons plus cela à 49 | annulé de chiens organisée Par lux | w'en conalasons pas de plus para:
hour Donc, nous resterons tous” :
Le R. P. Doncoeur, Jésuite, officier
. la Légion d'Hopñeur pour faits def:
guerre, a. publié; dans la “Victoire”.
“une lettre émouvante à M Herriot.
En voiei le téxte: : |
d'ou tout larges les deux bras en-
. core lants de la France et a don- |
mé À tous les msérables leur pardon
Far la porte ouverte on a voulu faire
passer les coupables et tous les lâches.
les. iusoumis. les déserteurs et les |
Éd .traîtres. S'ils reviennent pour servir |
let réparer, j'applaudis.
Mais cette même porte ouverte aux
frontières, le même M. Herriot, du
haut de la tribuñe française, il nous
a montre, pauvres bougres de reli-|
x. rentrés le 4 août 1914 pour la
7. |
|
|
non, AUS ne pärtirons pas. |
Pas un home, pas, un vieillard, pas
; un novice, pas yne femme Be repas-
sera la.fronutière, Ke!a jarnais 1
+ J'ai vécu douze aîs en exil de 22|.
; à 54 ans, toute ma vie WKhomrmie. . J6 |
2 août |
(ais à |
vous ;le pardonne, Diais
1%14, à 4 heures du nmiatin, j
, genoux chez mon supérieur S
demain la guerre, aije dit, ma pile
est au feu”, Et mbn supérieur m'a |
. béni et m'à embraésé. Par des trains
insensés, sans Ordre de mobilisation |
(j'étais réformé}, sans livret militaire.
j'ai couru au canon, jusqu'a Verdun,
Le 20 août, à l'aube, avant la reprise |
du combat, à je recherche des blessés |
du 115me, favancaéis agdelä des pe- |
tits postes, quand tout à copp je fus |
- envelcppé par le craque me nt de vingt
l'tusils, et je vis mon camarade étendu, |
de son long, contre moi. sur la route. |
da tête broyée: -Le. poste alle rmand |
Î
l
1
était à trente pas. J'ai se nti à ce mo
ment que mon coeuf protégeait tout
mon pays. Jamais je n'avais respiré
l'air de France avec cetie fierté, ni
Sos mon pied sur Ëa terre avec cette
assurance Ù : |
Je ne comprends pas encore com-|
ment je ne fus pas tuf. alors. nivingt |
fois depuis. Le 16 septembre, j'étais |
fait prisounier devant Noyon, en plein
combat; eu novembre, j'éiais de nou- |
| veeu en France, et en décembre je re-
» trouvais le feu avec la plus belle des
divisions, la lime dé Belfort. Areec |
elté. je ine suis battà trente mois, jus |
que deryant Mézivres, le 1] novembre |
1918 J'ai é trois’ fois blesse, je |
| sarde toujours sous l'aorte. un éclat |
| d'obus_rec u dans la Somme Et. à}
mobilisé, J'äbeammis le crime de re |
ter ched moi. Et, méigter nt vous
me mositrez la porte. |
‘ Vous fBulez rire. Monsieur Ilerriot, |
Mais on pe rit pas de ces choses |
Jamais, pendant cinquante mois, | |
vous n'êtes vènu mo trouver, ni à Tra-|
cyle-Val, ni à Crouy. ni à Souain, niig
N au foit de Vaux, ni à Brimont, ni'a
1
!
la côte 264, ni à Tahure. Je ne vops |
ai vu nulle part me, parler, et vous |
o-ez me faire sortir aujourd hui” l
are |
|
* tre (car tous ceux qui étaient eu age
de se battre se sont baitus), ni aucuge |
fexmuee, nous be reprendrous la _
de Belgique Ù |
- Cela jamais. _ Ù
13 Vonne Ge dons voudrer, |
L L F sd d ; CE 4.
| ER j û
+nous effraie. Nous ne tenons à rien. !Oblats, l'église Saint-Joachim est en-
! que hous ne voulons plus qu'un Beige, sent chaque dimanche à des heures |
tième, les vendredis et jours de Jeñnn
et d'abstinence sont indiqués par un
poisson rouge, les fétes légales sont
inarquées d'une croix rouge, une indi-
cation spéciale, avertit -des Change.
Chemin Sainie-Fcy, Québec. -
|
|
|
A : A LE" |
ni à un toit. ni à un champ. Jésus-| core confite à leur ‘sollicitude, et sert |
.e Î
Î
|
Christ noës aüitcod partout et
depuis plusieurs années aux fins reli
suffira tpu,ours au bout du monde. |;ieuses des populations catholiques |
Mais nous re partiruns plus parèe | anglaise e* française qui s'y réunis"
Le jubilé. de M. Branly
Paris — On #:ent de fêter les quutre-
vingts uns du grand savant françai:
qui. déchuvrit-Je-principe de Ha TS.
ns Din ar tombe de aoë sociation * . SP. “| à Les CET gi lo ments de saisons, les carreaux: libres
£ aura leu à ig River “ 5, 4 et 5 mars. | eux comaurs, e nom du £gaint du oÛ le bas des page renfermeit de
vous Dé ti as nos maisons, vous nous | MOfts. à | . : ci | = ‘ pieuses sentences ou d'uties rensei
ouvrirez vos lyrisons — il s'y trouve Et si nougfevenions tout à coup RS _ . rer gnements, | .
en effet dei places laissées vides par des Ag s. djtes, nous Je ne at \E EXPEDIEZ VOTRE ORAN À LA à dd *! Enfin, — heureuse inn2v2\;up,
qui vous savez — soit# | vous, Câfparades? | ui SRE llcbaque page des mois donne les der-
Mais partir comme nous vons faît . ; (1 NORTH WEST COMMISSION COMPA # niers jours du mois précédent et les
jen 1902 — jamais. À Les noces d'argent de l’égli- | 103109, GRAIN EXCHANGE, WINNIPEG, MAN. premiers jours du mois suivant.
Nous'avons aujourd'hui un peu plus se-mère d’ Edmonton L | Ptei Naûta Sri és — Riv'ergenle:, SL L'Ediés Bref. le Calendrier ‘de Saint-Joseph
de sang dans les veines, el puis, sol- ni E | Le 7 Porteurs c de gärantfes A pour l'année 1925 est le calendrier re-
dats de Verdun, nous avons appris Edmonton — Le 8 cotes pro- de #Bénquiers: ‘Union Bank of Canada ligieux le plus beau ct le plus com:
aux bons endroits ce que v'est de s'&"-Echain on fétera ie 25me anniversaire | ' plet qui aît encore €t6 publié en Aius
crocher à un tertain. Nous n'avons eu | de la pose de la première pierre de ||||. ECRIVEZ-NOUS POUR ENSEIGNEMENTS, | pi 1 rique. 11 mesure 17 x 52 pouces; c'est
peurini des baïles, ni des guz; wi des | l'église mière d'Edmonton. Les pas | CORRERNERIES en français \ US vraiment le roi des calendriers, Ha-
olus braves spas de la Garde; nous | de Saint Joachim ne veulent pas lai: | Bug Do gérant - North West conne Ltds tez-vous de le demander avant qu?
ln'aurons pas peur des € mbusqués de | ser passer inaperçue cette date glo-| ÿ Téléohones: Bureaux: A 3297 — Rés.: B 647 l'édition soit Cpuisce. ,
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ou qu'un Chinois, ou.qu'un Aliemané, dificé. reste à l'élément français, ctf
tee finissant Fe ler Aécanbre 1% —
_ te ue |
nous rencontrant un joûr loiu’de no‘re quand, à a-Noÿt prochaine, 14 pa” “,.t a Te F. Né à Amiens en IS46 M. Branly
pâÿs; nous “pos e certaines questions | roisse anglaise de Saint Joseph prrer- San % | Mardi Me rGs Jeudi Vendi ‘Same dÿLunci 1 ‘entrait ‘en 1865 à l'Ecole normale. 1!
auxquelles nous répondrions, comme | dra possession da” den SRE PA la |. GRAISS . 25 fev. 26 nov’. 27: nov. 28 nov. 29 nov. LE Le EC. le sortit agrégé des sciences physi’
jadis, en baissant latête: ‘La France cathédrale qui lui sérvira d'église, “ EF PE De "À So quês ct naturelles. : D'abord’ profés.
= À 7 à AA) PA ER 3 3 3 111
nous a chassés”. ‘ SeintJoàchim deviendra vnilingus eut BIC No LL à sd er L he I . : RES l'on À 633. 4 sa seur au lfrée de Bourges, il entra à
: ' QU L OU £t-0 3:41 Ds 1 394 1 SE« 9,06 Ta rbonnè qu'il quitta bientôt pour
———— ———— ee ——— 3 NO 1:55 148% 1.544 1:54! 527.1 à2:
di. É lu l . ac et À ; STE) ée s Pr ! TU Fa M LT aa ET esser à] Institut catholique. Ii
ujour ui je ne out e us L es aa e Voine MN u , 84% Dé: nd: Di: - 904 -913 l'avait obtenu en 1873 le doctorat és
j P 3 CM de ne 55; 56% 55% 199 .54i -547 sciences etyen 1882 le doctorat en m6
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la 30 4. Gérer, ot M L'bavéren. père. partie du résultat pécuniaire
à Mis A :latérii Mlle K Gspréet |.
‘étais file d sûr et ML déerts
nt bin oser né sa
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timonts .de notre _reconnaivaanee s | météreme, à l'école; Avon, d'avoir. si 2 ue Hors tarte
tous ‘ceux qui ont contribué, de, quel } bien préparé. en si peu de teniys, une
que facon, à notre bésar dont. is’ seu. | séaiice qu'éf n'uubliera pas de sitôt: nôle aux Fermiers Unis, c'est-à-dire aux
ape
Le grând vibre ns ps fermiers désunis, l'association.
éttitie. à ba" d6t venir restera longtemps gravé dan: [entre leurs mafus intelligéntes ét né-| pratiquemep:. vaine par UM C.
‘de fesétrén: le coeur des geris du Portage.” A tou. | vouées,eellés sévent faire vibrer les LME
parents de ln nds |"n Ccordial meref. lames, les coeurs dé nos chers enfants): M. Henri Lacerte. ‘président dé f'As- Or; 1
diner. Te: auf leur domt cames. sbciation. d'Edusation des Cansütens| M: À Allard
n vieu N-D.DE LOURDES | Cent un vrai négat pour des parenta|françals du Manlobe, accompagné | Are Jourdain”
aussi de la fête. PA -}de_vôir_leurs érifants, seibfébies x ami, Goit Venir dans nos paraçes M R-M. Poitras ....,... .....
“Lés nôuveñux mariés reçurent plo | Séance des Enfants de Marie | de: Fils Boutons. de ronve, s'oyvrtr et dttadene le 7. courant, dans le but, MF Lagimodiére _._.........
steurs pneu fques, éndéaut j Le comité d'organisation lle lu sé s'épanouir en disant et eh chantant si| de percevoir nos contributions ro ag et FR Éoascataarortee
L i . de Wildrose, s'en ef . © [ce invite les paroïtéses environmante uen tes paroles, dans belle tangue | l'Association. M:-Ant. Gisgras ............
Rex avéé unie blessure à 1a handle et Le 16 drembre à y a eu une parti |} cette soirée récréative et musica M. C. Royal ...:--:...
Fi | 4 s'etthtratné pendant une tuile pour | de. cârtes dans la salle municipale, au | Voici le programme qui sera exécuté - M. Jos, Marchand .....:.......
ne cbéenir Er 4 profit de notre église. Les récettei |. Orchestre. D 06 Detker .:.........
ont été de #200: |: “Mme Beaicardon a rêvé chats”; . L M. Bus. Dufanit............,....
:siodvetie brasserie Adinr vieii E x pi No nets ce M. |
di Éu-opératién; elle oceupe un: è déux actes. bd te : Fe} M Louis Eavallée, fils -........
WP à reta sé de hs : _'SAINT-LOUIS Chant, par M. Noët Chalumeat. nues sur. ÆT COwLETr M. Joé. Lavailée -..............
DAT om ee rm : ta en. w+ | _ :rête, de Linotte”, monolôgue: (Mi! … Percepteurs: . MM. 3. M + A Des 15
à ra. su ve ne op de bent |. Pvéreit Lunan et a 6 Raymond Neefs, MA. Leverrier. : Mubier. | | Le Es ROSE os
F g grep les deux jeunés gdrçons de Saint-Loui: “J'rénds mor tablier", comédie: « ; | M. Jos. Labbé RP CEE M. Eug, Bruce .......1........
ae immédiatenrent : À Ja télieir:détonêre dont le succès en appréciation des 4ani-|un acte pute oi 2n7 me” bre Te: 1-00 lagte Afxendrine Bruce. S
° | . À. eanit ..... are TS ns mn 7 tros
f D. D Labbe ue pr dat) niaux dans le concours de ia province Monoilogue M. Albert Augert. L En + MMA. Leclerc et À. | Mme A. Dubas ...... 23e ve a de 100 bag. M pt
t Er trôte d Ü ve - leur a valu un voyage à Toronto pour | ‘Un soldat dans le mouvement”, di: | | Royal. M, Jos. Couture ......:.:.:....,. 1.90! ar Ernest Mi-haud |
# L # e ‘contrôle gs . _ assistér à l'exposition royale d'hiver, |logue: MM. E. et B. Rägot. . | [a JC. Davis 4... a 83.00 Fe E. + rame is deepae se 100! 1. Jules Mager ......... ......
Î. L'exposition de Volailles de Prince- sont de retour au milieu de u96s. Tableau vivant par les Enfants 4 | | Famille J:-B. Leclerc ..:::..,... 5.00 M. L' De ebie ne PPT Se 23 Mile Thérèse Lemoine ..._.....
{ Aïbert'âura Heu les 3, 4 et 5 février. | ls ont remborté là-bas de nouveau: | Marie. | . ee rss + ‘Fra. "à L FD. Carr PRET ETS
SE y ac suffisamment d'inscriptions | succés. Concourañt avec d'autres jeu-| “O Canada”, “La Marseillaise". jp Ps uso 300 | M. Vendome : .…....: ne :50 -M. Carrière ....... |
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RS ue ce annee 'émutete ét à [asser grande, ni les oreilles ânses On | 7 Péoian dE x”
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ne É Hieet PTS HN UT À a. s # La à | si varie ME. Pelietier RD .. +00
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, dre lesx' denx bouts et pu tes intérêt Crotsstu un seul instant ce « ort bglle hume 2 , Le
| = esp rh femins seule 44; Je Mean » F' arri tveé u ah Us te de r Vosois, F ° xPLE . | M. J.N. Senez . .$1 co |
penses dohce sérieusement avant de parler [ Dans Le différents morceaux joué Mme L Kelly ; : à Lui} ‘ CANADA PACI UE | : EUROPE
Joseph Je crois bien qu'ils verraient de là misèri f D ant monolcgués, diilognés, etc: ti Louis. Tétre: ult | 1 00 | BILÈETS EN VENTE UE .. Bit :
: i « ‘ #1 ; Smesree ‘ LETS EN VE BILLET deg À
i du dus papuets et sadbune qu RE M et par à: . faute. on paf t évaluer le nombre des cxéct:| M Modeste Sabourin cesser L08 + S Téus les ee nd iant :
L] petites volontés séfa peut-être oblizéi ux jour, elle et ses rèrps ot tanté à 70 et un certain nombre re | M. F Shi mnowskys . PER 100 vs tes jours pendant décembre ‘Certaines dates pendant dééembre, + jusqu'au s oviér 1925
n ET LV ie Rom üe ce pm e ral a p H ae pa | j Ah gRttaient bien de ne pas figurer. ls | M- M: uurice. Sabour! ny. d 4ta! jusqu'au 5 janvier . 1925 ‘+59 : janvier, février Pour forts de l'Atiantique
s & des angoisses Et des pleurs dé Ya mére comme den sOUNrances et_des <e promettent” bien de se füitraper in Mme G. Pearson .°:....:..:.... 10! . Limite de retour, 3 mois Limite de retour, 15 avril 1925 (st J , pce d Port!and)
* misères des” malheureux orphelins e ) + M. JA. Desjardins .... deu cs 308 : "+
'% $ doseph Je'suls un peu pressé aujourd'hui, inais nous" en Fe prochaine fois — O. Clin Mars .,.,..-.. PR $
K {. par ns FA À dk Deux petites piètes ont fort ‘divert | # W.-M. McKenzie ...,,:. ee 209 | . *
. . piiptie u FL { ouuras, J1Dhis »j îiu AsStures, pre er » - È
D, sJégnchamile =; Quand in voudran. mais à Lars pré Ms asélante; “Croquemitsie”, joues | M. A. Léplante : "49 TRAINS SPECIAUX et ere
{ pire régretter 3 + à À par l'école de Suint: Malo: “C'e si trop. | - : 0 hr ele o on FD SAR : 546! <<
. |Es 5 * dé: k ‘ à ‘est trop peu”, pur l'École de la Ito | y 1 M ot og . À AERA pe He . DIRECTEMENT A L'EMBARCADERE À ST. JOHN POUR LES DEPARTS DE DECEMBRE xt
1 é a AU hé chelle. M. X.__Gôrman: ; PPT: NET 3 ù » è : } n N
156 LA SAUVEGARDE (Sp sans nu pts ee Ra ru El Mens mn: |
ÿ | à AE || petites qui nous .on; ‘eharmiés par la | 4 £ Lu 3 i vanne ë né :
11.4-1. MONNIN, ngent spécial pour le Manitoba, Victory idgé, Winnipeg :|l! délicatesse, la justesse et In ‘jolless> | + : ‘as a re < D | |
{ 7 RAYMOND DENIS, agent général pour l'O onda, Sask. de leurs pétites voix. s FI P.. Desrosiers ........... dede 4 È
À ;* ep J ° { : Merci aux chères rs de Saint-! Dr J. D. sn ee de ed , ” _ $
| ! HA AUS É , M. E 1 un ces sx de 8 ve ini
\ 3 | On demande de bons ageñts Jéaux , [Il avéré. maîtresses de l'écdle de Saint | LÀ PT: ag :1208 - =
‘3 | d Ù - Malo, à Miles Annie Delorme, maîtres- | 1 ARRETE j
D" LE Len à lu Rothelle el Rose Dklhns Morin. ! Total. :.. à 4 Fa
“ 1] tes se OL RE
CRE Mere p 8
né R NEO ER ” # -
gay fe ATTEND 2 x es ar MEME" de mr >
tr
de Mine R-A. Smith (Nn 25996). ,
; | 2.— Une robe de chambre, purnée par
vous M. J. McRae (15850).
rio- 3—Un parasol, gagné par M. AJ.
cité, | Messier (1622).
. 4—Une épinglette, gasnée pr
Z-H-J. Murphy (4087).
5—Une montre en argent, sas
par Mme Denby (16990). «
6—Une couple de
par le No 28348.
"ie différents objets de la fombola
ont été gagnés come suit:
1-—Table en chêne (3926), M. ‘Er:
nest. Gagnon, Saint-Boniface.
L2.— Fauteuil en ciêne (4887), M, J.-
Ÿ. Davis, Montréal, Qué.
3—Sac de voyage (6355) Mme A.
Caplin, ave, Notre-Dame, W'nntpeg.
4—Lampe électrique : (6317) M. Pe-
ter Loughran, rue Fort.
5.—Cendrier, me M. l'abbé Mo:
quin, Saltel, :
6.—100 ma 50] (6950), M. McHale,
247, rue Carlton.
Encore une fois wous Rss à dire
un cordial merci à tous ceux et celles
qui, d'une mañtére on d'une autre, ont
gontribué à faire de notre bazar un
succès ina u: Déduction faite des
dépenses, il nous reste une somme de
$2,600. e
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P.Q. est décédée Ié 2 courant à l'
de 74 ans et 8 mois: füuatgjai
pouñ déplorer sa perte, uh fils, Heft
Brunelle, de Minneapolis, Mian.; trois
filles, Mmes J.-0. Faubert, Saint: Rémi,
P.Q., Paul Sala et J.-H.-N. Leveillé, de
Winnipeg; un frère, Alfred, de Nico:
let, P. Q. et treize petits-enfants. Le
service aura lieu veridredi matin à 9 h.,
à l'église du Sacré-Coeur, et l':nauraa-
tion se fera au cimetière dé L1 Salle.
‘ La Liberté prie les familles Sala et
‘Leveillé d'agréèér sés respectueuses
condoléances. «4
GENEVE — Le Dr Sélani, min
du gouvernement canadien et délégué
b la conférence sur l'opifim, a été élu
ds £ comté concernant la fä-
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MINES
Le colonel Webb est élu mai-
re de Winnipeg
Le colonel Ralph-H. Webb a-été élu
maire de Winnipeg «pour 1926. Il a
défait.le maire $.-J. Farmer par 4,700
jamais obtenue un candidat à la mair
dans notre ville.
: Ce sucèès en a surpris un grand
nombre. Le colonel Webb est un nou-
veau venu à Winnipeg. 11 y a moins
de deux ans qu'il a quitté Montréal,
où il était gérant de l'hôtel Windsor,
pour venir prendre ici la gérance de
l'hôtel Mariborough.
Le maire Farmer, représentant du
parti ouvrier, qui'se présentait pour
uni troisième terme, a perdu du ter-
rain dans tous les bureaux de vote € et
fl était visible, dès l'arrivée des pre-
_miers résultats, le soir du vote, que
son adversaire l'emporterait.
On a enregistré un total de 39,316
‘votes, ce qui représente: 3,579 de plus
que l'année dernière.
Voici lo résultat par-quartiers:
voix, la plus grosse majorité it
Farmer Webb
Quartier No 1..... 3,913 11,465
Quarfler.No 2..... 6,263 6,785
Quartier No 3..:.. 7,132 3,758
11,308 22,008
Majorité pour Webb: 4,700.
Les échevins élus |
11 n'y a pas de changement daus là
| formation du conseil ; tous les échevins:
sortants qui se représentaient ont été
réélus.
\ ) énfants,
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pain
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#T.EAT ) N Cure
_MINNIPEG ne
a de Marcel Grand-
jany, le 16 » 16 décembre
+ Veut-on dar: cat comment Marcel
Grandjany adopta la harpe pour son
instrument favori, au-lieu-du-piano ou
de lorgue qu'il jouait également bien?
À, l'âge de 8 anb, Marcel Grandjany
alla demeurer uvec une de ses tantes
qui avait toujours ardemment désiré
devenir une harpiste professionnelle.
Cemprenant que le tempérament du
jeune enfant se plierait facilement à
{l'étude de la harpe, èlle mit tous ses
efforts. à développer les goûts et le’
talent de Marcel dans ce sens. Le
jeune artiste ne tarda pas.à dépasser
toutes les plus ardentes afpirations
artistiques de sa tante. Une intonsité
d'émotion qu'elle n'aurait jamais pu
atteindre, à laquelle s'ajoutèrent une
délicatesse des plus subtités et ‘une
richesse d'expression des plus” raffi:
nées, .le rendent maintenant immortel.
M. Grandjany se ferä entendre
Winnipeg, le 16 décembre, dans ü
concert qui ne manquera pas de sus:
citer un vif intérêt chez les amateurs
de musique.
2,
| Parents coupables de négli-
gence gro grossière
Le jury du cdroner, après enquête
fillette de M. et Mme Robert Watson,
de Winnipeg, a rendu un verdict de
mort par la faute des parents qui ne
voulurent pas appeler le médecin pour
leur enfant atteinte de diphtérie. Le
jury a déclaré que les parents s'étaient
rendus coupables de négligence gros-
sière et que les adeptes de la “Chris-
, Quartier No 1 Îtian Sctence” avaient violé-la loi mé-
Davis ... DE meerees 3,100 : dicale du Manitoba en essayant, mal-
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Wis. “Après avoir essayé tou-
tes sortes de remèdes, j'ai en-
fin été soulagée par le Novoro
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et dit au peuple: .Qu'étes-vous, ABS .
“ e de mon l lim: RON ES F fe. es 3 dt chez dll k sr"a "aan deres ae onénenai én|tranchant plus délicat. à
rpg eg oùrs, pie, re --Pétriésesie dans de l'eau contenan
16 er-4n6 4 aber à i ne: inguais pas de X peut 5 rés t fausse. CE. | un peu de bicarbonate de orgues.
Quand tu iras lire, ou ere a maison, je eme pas À qa'on peut ve, ë D. {2
RS RAT)
dette "eau et remplacez-la par de l'eau | srbabflont de la: sorte sont ii
| résidet prier dans mon île, ns-|lui-demander: 5% +, =Mfaisoui, Dinette.- Engrandistant, édrn« nie dent mettez du chlore 19 | pajais des rois, Qu'étes:vous
7 KE ; Leg : sl 15 Patte bi : Linelte, tout 1 “ ADR: El APP). af à hesi | Maux place du bicarbonate de Oui: je
24 La mragg wave bai ue y DE ea else Den oral, Linefe. het ce ets ne die EE Men pour toi, ele Me abe ln Lt à 35 goutten pour ane Ur Lie canne où pou ou Ve DS
2, a apportés jout “déshabil-!mom de Philothée que je lui Ælle Lit pére Le ; ES Fe a par avoir plus d'espril el par comprendr fe. que, de beurre); pétrissèz et remplacez ox | ser e‘est de-lui qu'il est écrit: Ÿ
| urs feuilles, leurs pau-Pdonnai, en souvenir de-saint| RCE PORN PEN à d pl mer le. ronge. est de défaut de aux qui.-n'ont suite par de l'eau pure. \ devant vous mon Ange, qui vou“
a.” pélils pieds nus, et: nous | François de Sales et de sa chè- mütlice amusée, puis avec yne sincérité non bas de d'avouer leurs fautes, par peur Votre porte grince ?
" rèra la vole. : ‘
C'est énervant; et vous n'êtes pas _ Lo,
tions en automne. Je les plai-|re pénitente. exempte de blague, elle m'ayeuait : des grondertes, dés punifions, ou parce qu'ils
2° — 0 ED —— 7 à
beaucoup: “Grandspére, 4— Mai Mademoïselle!. Vous savez. FAT E ‘patientes? Alors prenez un crayon : 4 bas Le
Ù mi “Comme les oiseaux ont des| :.: ats non, motsege... Vou - sont trop honteux d'avoir mal fait. semaine:
k s0 ef rte LE ch rs pe nv ur faire | bieh que je raconte tout celaÿour' vous amutsri or de a mais c'est Die f plus. honteux) gene sv ue CA (Péatn.: Bi Ms mors dre 4
fl ti Rai cr en. ont let pour m'amuser. FR ‘d'étr teuse. ‘être gourmande! + the Lu | seudi & décembre 2: te hard.
: avoir peur, tout petils et tout\fesoin.<t les cetfe ont: leurs hu ER n Pie d'être meñteuse'que d'être gourmande: eu embre +
seuls, dans Ja nuit.” aiéeus s orts M7: 1m Oui, je le sais bien! Seulement je te de Puisque tu es un.si bon petit ‘avocat, Vendredi 5 = 8. 'Sabas: me
À _ÎL ne leur arriva rien-de fà: mar 4 ile Ame sd ere demände pour que tu t'habitues à prévenir tes Linétte, il faudrait expliquer toût cela à ta A Samed{ 6 . S. Nicolas. - +. 28:
à ue Je hs vis très gaillards, |4 couvert, prenant la fhicheur géns que tu leur as raconté des histoires de‘toit ser; tu verrais qu'élle se corrigerait bien vite. RTE nes Hs eu 7 — a tinaaige
3 | ee Fa Si ru PA re d'ombre en été; ainsi, Philo- | invention. TR ECTS. MR. 4, — Qui, Madémoiselle.…. sn Pour le conserver déux jours, ii sut | Lundi 8 -- ‘mmaculéé Concapttft
gros bourgeons rouges et: pois- Le nm oi «7 ho Diacs HE Vous voulez dire, Mademoiselle, gran . Æt.je voyais eur de visäge de l'enfant lé ge je bn h terrine ver. | Mardi:5 — Ste Léocadie.-« 2
seux, puis il leur poussa une chaque jour, ou Se le mont de |P9#rrait me prendre Pour ungséntense, Ben! réflet des pensées qui s'agitaient dans sa petite |" \ doucément, de telle sort “AMrererodi 19 — 8. Melclilade.
-\. multitude de minuseules para-| Calvaire, ou ès plaies de Notre- | faudrait pas être malin pour croire que mes: fôhe. ae ns “rares Lee nr bel RE ER + — à
che à gt ee em à - mr er à " : Es re ex PE à sont ag de me Je a Ame dokt être aujourd'hui . une grande appellé “éécanter"; cette terrine de | Aer 3
ie col donnèrent de sl es a que Lors Levi menteüse si elles pouvaient fromper les gens, fille. Je l'ai _perdue de vue, mais je | "re demeurer exposée à üin courant || AE 3
‘ombre, comme. leurs grands | 4 MIRE. et là, s'alléger ef mais ce serait trop bête de ne, pas voir que.c'esl pense sonvent, ÿ cette originale fillette dont te oo. _ _. le Ar Une-magnifique 00 ur:
“ es . “« '} LL] - LL: pr F + 4 8, a L “ . ? u
frères, etlun d'eux s'avisa mé-|rceréer entre les affaires exté| PO" vire!” Tenez, je vais vous expliquer ai si clair, si juste, ai précoce. ae poutollion. et 1e relate au vaine [ PV0C. Diamond Dy
me de fleurir. Alors, je courus | féures, ét pour y être comme | °#ment ont est menteuse. liane (c'était ya fes 4 ré: me é
PRET
| chercher un beau ruban que je dans tm port, afin de se défen-|petite soeur) est une menteuse, üne viluine -. UNE.INSTITUTRICE. 8 PRIT Te Pc =
ui y mp ts Lot À la taille | dre des tentations. Bienheu- PRESS AE RAAPER RSS Em : Late-Bes Pia on Us cn memes | - Ul faut soutenir les bons
i Me les au- [7205 l'âme qui pourra dire en 7 pe tait M 1: , ü la veille de se marier, doivent pos | ournaux .
\ L # see 7e | Er les au- | vérité à Notre-Seigneur : “Vous | Il est intéressant par lui-mênte. 1 MEUBLES N° v : ne et Ga dobsbt d'obraities | — journa Ve
sle £ êtes ma maison-de refuge, mon |1l est une partie de notre -fok-
, . En. juillet, il laissa tomber | rempart assuré, mon toit con- tune, et puis, au’ demaine, on
! lui. la pelouse six gros MAFFORS Ftre la pluie-et mon ombre con-|len saura gré. Le 35
uisants el: Bruns. Je voulus |tre Ja chaleur.” - |: Des bêtes, N est tout simple
pas le_plus ‘beau. ‘| J'ai totijours su par coeur ces D ou og gens, gens de
e l'af éncore. Tu Je trouve-| charmantes lignes de saint |che#nons, gens du village, gens
Mprés de mon premier Gvenc|nrapgois, et Je les redieis en) Te domi Léteiccten comes de
: * ; N- | pénétrant sur cet îlot où j'étais, | Je me su CN 1 : j du sälon ont. des res: | k
#: j d'un petit oiseau empail- Fm femme, mieux FAA pâr- A amais ne rrakgr cine: Fra fois, un er »
é.je ne pourrais
rues ire. out ailleurs, la maitresse dé d'eux. + | 7 an robe D nogasisesnet Le 617 TO MN ET dt
s'excusent en.ces fermes: . | Les canonisations ; pro
Crau AS
" Le vétéran du journalisme éatholl-
due en Belgique, M. Léon Mallié, @û ane
veloppait réceminent un rapport sur 1 L tratches. ‘et
la presse au Corigrès de l'Union ca PIN om, fa bou
tiolique Belge. M, Mailié rappelait ,
que pour posséder de-bons-journalts
“tes. -ét par suite pour avoir de bons Co s
foürhaux, il fat les payer. ÆtAl pré |* ut”
è à ; 1 ;à coudre, vingt cartoudhes et, trois
On devrait cnselgner aux enfants à! taureaux, le tout -pour indemniser la
soigner les meubles, -Dans certaines | {4e pellemère de le perte de sa
maisons, fort bien tènues par ailleurs, | jp mo Stats |
en remarque que des chaises de | 1e curistianisme donne 1à/#iétlletre
suile à -manger sont usées, écorchées, | si Donge, PR re 0
déeulorées, à force de frottements; La femme vaut l'homme et, quelque
tait bféer les journaux à payée [pe g.! er 5
ébnveñablemént les fournalistes, Trop | da 14) drapotr tit;
de journalistes sont encore obligés @e ft" Achetez" .
travailler pour des saldirés de/farine, | autre: — et ditesà votre 1
Nine faudait pas généraliser, mais les sel FAN 1 veÀ AN ne Lo
cas restènt trop nombreux." ‘du coton où uh sn Mug
ÿ TU x 5 quema pensée. e » : D
j'ai plantés, tu les connais; c@| . Mais il n'y avait pas que les | voulurent bién m'affimer qu’el- ie CRE ALLAN - de 2e qu
Jeur défendre de toucher à" tout,
n L. énormes seigneurs qui | arbres sauvages et Ja riviere |les ne sauraient passé passer |. Le |
décofent In pélouse, aù midiltoujours prête à s'enfuir dede mai. Ce fut'un déchirement |, ponvros petits! Il faut bien-qu'iis| Les six anotisations. iñorslement
du château, y a longtemps! chez nous, il y avait notre vieil-| de part et d'autre. Mais j'ak | ent un peu. C'est de.leur âge. [assurées pour l'Année Saiité, veéi qui
que je ne m'inquiète plus dc|je mare immobile et discrète, | lais à un devoif naturel et TON! je .cônnais des enfants qui remuent | contribueront à donner Aux) fétés Ju
ine pardonna; j'allais vers Ta-| coup. C'est de leur-âge, en.eftot! | bildires un éclat incompräble, feront
leurs nuits, mais je les admire |jes bons arbres à fruits et les
mour et je ne souffris-pas au: | ment ils savent qu'il est défendu |l'oblet de quatre grandes eëtémonies
toujours lorsqu'ils sont en |flours. |
fleurs et j'aïñme à m'asscoir à tant'quc je le redoutais.. Quand
LUE
Que de choses à. soigner, à
: büsilique Saint: agents
UaNT las prendre leurs ébats- sur les bergè-|Pontificales dans la «ce j d :: ; he
leur ombre... aimer! je revins, après mon court exil, | qu sajon, De même; ils ne s'a | Piètre. x ÿ Eczema sur mon Visage , . ,.
Je suis sûre qu'eux-ron plus!" 11 y avait aussi les bêtes. Je [Je n'avais qu'à raccrocher mon À ent pas à gratter avec leurs sou-| 12 bieuheureux curé d'Ars ët le k 0 lètemenit guéri ”
, ne m'ont pas oubliée ct qu'ils| fai déja parlé, je crois, des | anhéau à toutés ces chaînes que |}. je: vernis des chaises. [biénheureux Jean Budes seraiènt ça- compieétement gl der:
me regardent vieillir dvec €lon- |écureuils et.des petits musiciens ! j'avais quittées à ét. “Côn-, à
nement, peut-être avec émoi...| qu, grand concert des arbres.| ment në seriez-votis pas heu-
#5 Quant gui patriarche du k tal ai suü très tôt les distiiguer reusé chez vous?” m'avait dit
tre, je Je Visite comme un pa: |rjen qu'à leur chant ou à leur [mon mari me ramenant parmi
/ rent Lt comme un bon!façon de voler. : À leur plumas|ces amis de toujours. à
conseiller. ; ge aussi, bien entendu. Je suis | : Il ne croyait pas si bien dire,
Je te cite un chêne et quatre | fous leurs noms. Je t'en ai de. | Après mes dernières seniaines
"+ “inNärronniers, inuis jé ne finirois jà appris quelques-uns. Conti: | d’anxiété à Tours, je fus un pey
pas si j'entreprenais l'éloge de! nue de t'informer. On ne peut comme le chardonneret qu'on
lous les arbres que je connais, pas rester indifférent devant |avaît mis en cage ct qui retrou-
pour qui j'äi de la sympathie ct\tunt de grâce. Aime-les. Pen-|ve la liberté.
| même de l'affection... 2ise à eux quand il fait froid. Ne | ; x
Je voulus un soir raconter à lisse pas les tvhats rôder au+ x (A suivre)
mon mari mon amour pour Ms | {four des nids. Mets des grelots | ===
arbres. Je vis tout de suite que | aux pattes: des vilains matous :
L'alphabet amusant
L'interdiction d'abîmer le mobiiier|nobisés le même jour.
te les -attriste pas. . Au <ontraîire! Les canouisations de la biénheureu-
Us s'intéressent aux objets qui les en-|#e Postel &t de ‘ln ‘bienheureusè Mère
tourent, sachant leur provenance, leur Barat seraient pareillemént associées.
histoire, et que, plus tard,,s'ils les en-| Quant à la bienheureusé Thérèse dé
tretiennent bien, ils en auront la jouis- | l'Enfant Jésus et au bienhéureux ‘Pier:
saïice à leur tour. . [re Canistus, Jésÿite hollandais, mort
Hs.se disent l'un à l'autre: en 1567, le Souverain Pôutife leur f6-
_— Fais. attention! ‘Tu: vas cogner servérait une rérémonte dfstinéte en
lé büffet!. Tu sais bien qu'il-vient de | deux jours différents.
bon-papa et que maman tient beau- On remarquera que cinq des futurs
coupt CR us canonisés appartiennent à 14 france
Les meubles deviennent pour eux |'écémiment appelée par Pie XI la
des choses de valeur, et ils les resper- | “mére des saints k
©. de Rae)
Mme Winnifréd Ernest, Boite 46, Blockhouse, f-8;, «écrits
“Deputs mon enfance, J'ai toujours sotffert . do ?
‘mon Visage. Parfois, mon visage était rit cou.
ne Feu vert de lärges plaies: d'es-
sayais les remèdes dont
j'ententlals parlèr mais F4
‘aduéun résultat. “Ceèl dura
vingt äfs, jusqu'a € qu'a. 4
jour 6 demagndai conseil à
won pharmacien qui, me.4it..
pm He Lie du
’hasë,. rés avoir eïw 1
cet onguent penAdañt Pt pi
& ET jours, les plèles commentés
_.! Vrent à se éfbatriser, et ,
i 1 tôt je fus complètement eu...
rie.”
ce n’était pour lui qu'“histoire chasseurs : tue Le 5 Én $ | : 3 j * EC AN A CRE S
* ps. 2L. s pseudonymes célèbres , “% pré
de poupées”; alors je me !us.| Ce n'est pas au moins que je | (mg PER ONGUENT DU DR CHASE LES
Lucien ne pouvait comprendre !géteste-les chats. J'en ai @tf[ On a aujourd'hui, pour apprendre pere
T'ôut le monde sait qu'Anatolé Fran:
É était le pseudonyme d'Ænatoie-
e “ ; ka (François! Thibault, et peu de person
mon lit quand j'étais souffrun- | toucher leur imagination en assimfinñt | ‘Dernièrement, la “Croix du Nord” lies ignorent que Roné Boylesve st
l tu ot me tenaient compagnie. lies Jettres de l'alphabet à des person .| insérait une note demandant Si Quel | Gus de René-Marie-Auguste Tardi-
le de 1 plus gracieux et le Quant à mes chiens, je n'en- nages qui se translormeraient. ” fan'er voulait se charger de recueillir véau, confrère à l'Académie de l'écrt-
plus noble.” Bucien resta tou- treprendrai pas leur éloge, car! .— Vous royez celui-là qui cs: rond | un petit orphelin de deux ans e: ilemi vain: dut vint de mourir. -*-
jours un: etranger pour es |s;j je me mettais à te-raconter | comme dâe pomme, leur dit-on, h se | pour l'élevèr en bon éhrétien. Tandis François Cépée s'appélait Freucis |
chers arbres et cela me fut très | toutes les-histoires des Tom et Inomine 0. Eh bien! quand on lui en- | que les “offres d'emplol” contre foris| Goÿpaé, et Jules Simon, Simon Tales
pénible, A lon tour, ne.traite|des Pyrame successifs qui ha: liève un morceau de son ventre, 11 4e gages publiées dans les journtux ob - ,
Les braves gens
60 sous la boîte chez tous les marchands ou Edmanéon Bates & Ce!
MR,
TT M ‘4 » i ires » « fe . , .
qu'il y a des histoires de p - d'excellents qui. me suivaient [leurs lettres aux jeunes enfants, des
pées qui grandisent avec nous, ! dans mon ile, qui venaient sur | méthodes charmantes. On essuye de.
prennent de l'âge et dé la gra-
vité et font à nos derniers jours
pas d’enfantillage ce/sentiment. |bitérent le château, j'oublierais pomme C, et quand où lui mét un petit | tisdnent,si peu d'échos, sait-on combien
+ “Entre les pelouses et entre lès] trop que ce n’est pas äe mes [marchepied.au milieu, ji xe nanime G, | de Féponses .a régües, Ja pértonne qui
urbres, il ya la rivière. {joies que j'ai à Centretenir,} Et une petite Ale, hier. à qui ôm | a fait paraitre côt avis’.
…, Comment ne pas l'aimer? Ce |mais-des ombres de ma vie. | [demandait quelle était la lettre qu'on |. Quatrewingtcinq! Et non seulement
n'est pas qu elle ait grossi, cle, |, J'ai toujours été au -courant |iui désignait, répondit: | par lettres, mais par télégraimmes at
’ Malgré Tapparence, elle cst|de. l'arrivée en ce monde, des! — C'est un U. Je le reconnais pur-| bar. visitest. Quatre-viligt<ing. per-
toujours la même. Je dis “roal- | maladies et de la-mort des bé-Îce que ce sont deux “1” qüise sont | Éonnes £e disputgnt commé une ré
gré l'apparence”, parce que, |tes de la ferme: poulains fani- | rapprochés ét qui ont enlevé leur cha. |‘compeñse cètte Donne ation
Luis pseudonÿmes sont deverus
plus rarés qu'autrefois, et celui de Vol
taire, qui eèchaît-d’Arôuet, n'était cer-
tes polut une:exéeptiôn. :
On-étonnerait bien des gens en leur
parlaut des coméflies de Carlet, in
n'était autre que Marivaux, ou de cel-
’étai i tés dé Cartép, qui était Dancourt
lorsque j'élais pelile, elle me |liers, chevaux rétifs, plaintifs | peau. . * | Et la grande majorité de ces Des! Qui se doùte aujourd'hut que Voinéy | ?
semblait fort large et terrible-|ggnèuux, veaux üu-Rez rose,| Autrefois, l'alphabet n'était pas «i|vleüt de gens peu fortunés: ouvriers, appélait-de son vrai fiom Chhsse-
meut profonde. A mesure que ns oublier ces modestes eoin- | réjoutssant. + petits commerçants, ertmiers. Bean-l eur: Delille, Jatques Fontatiert-Or8,
je graudis, elle rapelissa. L é- phgnons de saint Antoine. qu = 2e — coup même sont déjà Charges de fa-lijjjon, Joiyot: Voisehon, fusée: La
pouvantail qu'elle était jadis se ‘barquent à la ferme à la Mount i Li mille, . ot Chaussée, Nivelle: Sdinte-Pols, Pou-
Û transforma peu à peu en uue douzaine et dans un concért + ping: à cneveux | Ces beaux exievples de éénérusité tuti ?. : "“
distraction. qui ne manque pas de pittores- donnés par les familles chréliénnes du te -16th0-pip- de ,
—— Quand il me: fut permis de |que.. Le-roi des épingles à chévess, -3L | Xord sont tout à-lbur houteurt Bi l'on dit dé alé toi et au'fft
we promener seule dans le! Occupe-toi de ce monde-là.{Sslomon Goldberg, vient de s'embar, MenRe. ee. EN SEE soit véritable, corrige:tôl: ‘81 4 -
-pare, je partis à la découverte, À “
quer pour l'Europe, M «a déciaré-aue ; 4 4 (
avec, à la main, une canne à | | 14 mode des cheveu coupés lui avait] Ce que vaut une femme
bout ferré, , Une haïle de mérite—L'Hui: | porté un coup sérieux Ka 1414, il y CR *
C'était au printemps. Les]le Eclectrique du Dr Thomas|stat,.aus Ætéts:Unis, 36 millions de] . Un savent, s'eét livré récemment à.
bois avaient étalé leur tapis|n'est pas un mélange de sub» {feñmes qui se servaient d'épingles à] up piquante statistique: ji a vou
d'anémones et les crocus vio-|stances médicinales placées en-{cheveux: iles en pérdaient environ |enxroir à: combien-étalt évaluée , urie
des mensohges, ris-en. — Mplotété.. :
CS TE sp 0
. Les difficultés que nons- tronrons
aux choses ne. sont de plus soifvent
les défaillances. de notre. voloaif
et l'avéu dela médiocrité de nos dé-
sirs. — Fadette. | ER
Jets, ouvraient leurs yeux sur-|semble et poussé bar la récla-|65 millions, par jour. Jexnme par les divers peuples de l'uni
pris au inilieu du gazon. Il y |me, mais le résultat de recber-} M. GoMberg a ajouté; vers. Son enquête, bieu-qu'incomplè
avait de la pervenche, Les!ches soignées sur les qualitésf — Depuis que le mode esr çvearp | te, lui,a de éarieux résultats.
pruniers sauvages avaient déjà [cicatrisantes de certaines hüi-|de se couper les epeveux, j'ai inventé | : Ainsi, unè-fancée tartare coûte dix
mis leur robe blanche et rose, |les nppl s-at © hu-}des épingies, très petites, pour les vhe-| kilos de beurre;,les Caîres son; plus
et dans les prés qui bordent main. C'est une cénblnaie
# eau le renoacule naine. qu'on |rare, elle a gagné dès le &Abut | de pésultat sérieux. A présent jé ait | <e anarier doit ifrer à-s4 fiancée pit
: norame grenouillette, étalait salla faveur du public et elle la [mets eù campagne contre les cheveux | vachas. ; Déls.lè Kurdistan, {1, faut
note d'or. garde. Un essai comvainera |veurts. li s'agiide convaincre la tom- D pr dr a
J'étais méthodique. je pris |quiéonque doute de sa/puissan- | me que ses cheveux sont sa plus belle ; et sus Iles, une dont de
a -fivière du Côté de sa source ce à réparer et à cicatriser, |parare, __.,.. [haleimé. Les indigènes de Ouganda,
dé ‘2 ‘ LENS 4 *
4 . , %
*
>
. Atraban regnrdi |caise? : N'est-ce pas pour cela qu'ils
PTS tous les autres/{ont, créé un visiteur des
à
L de T'astre qui N'est-ce pas 1K in ls Ë
7 moñtagnes 4e | Anctible de notre Chef, qui l'a :
jenf . roi. De m?-|hautewemt: “Si nous voulons
vas, Canadiens ?ran
H
5
dj c
# non», sf nou-'|‘rancais 4ans nos écoles, c'est à nons
; vs tarder notre "apériorité Intel’ | d'en retire”. , Este assez clair!
' Mébielle "Tel au Catalina, et Ahn: | Est cb assez expliate? wour
ÿ cat, c'ent vers le passé qu'il faut Mais, malgré tce:2, pourquoi faut-ii
Mis tourner pour avoir la vraie {u-} donc ehcore constater ls tendance
A ESS J mprauée de certains Canadiens fran-
, tgn effet, ni la race canadionne-fra. | cale à tvjours dénigrer et À mésestt
… Mie est si fière aujourd'hui de 4 |mér toui ce ant vienf.de.shez s
magver en Ce ccin d'Amérique avec. | Pourquol fantil voir trop sonveus RE
t d'indépendance et' de UMbert£ | core cette ‘admiration niaise pour tout
SU : sa 101 ardenjé Ges premiers lonta [cé auf est anglais? Pourquoi, cafin,
Tantiere Intéhse, c'est À son attachement
fanlable À #es traditions ences
be aqu'eîte te drift. Et i'imphrte d
r ici Géo cette survivenre-ne per:
Ed regardée comme J'eet dun heu
: hasard on d'uxe 1#£raifA angi
onne; elle n'ests autre chons
de la volonté .blen Ætrilés du
+ MPidlentronieis db Ayrer/ co vi
ù bc s'imposer. au resr@t de ve:
F0
ournef en ridicule nos usages et n24
nstliutions les plus sacrées? Qui
donc nous délirre;s de ce néfaste en
sotment pour 15
délitrera «du tamtam
Qui donc nqus
atiïle d'où qu'elle vi
£
À /
ntäire de
t de tant d'erreurs, pu
le plus vol: vébicue du protes
C'eat
: nomèénes historiques | cé. L'arma libératrice ne nous fera
, r, il n'y a pas dre % dis: imu' i ) défaut, 51 nous Àvon; lé bon ser
RUcisation complète fut 18 but mu lle ta recont t uragé d
ste. à pfesque tous. le je: ur lon servir t tion f
PAL voulut. b gr 11 | ï £ 1 l'une” forte I
Ban irc Angl'ete ju! | 1ro
Te du siècle dernser,, A6 r à } ef ÿ l'ar iranc tp
DIUS vite-ces quelque lle de À ra si droit H e et
re } eu 2 p 1e, il la duo cuve t parle est si
riaire, si le bon sens
inant de son e:prit,
fadiens fr grand tor est à «à
Prat ar: Fi doit, à cette forte éducation qu'elle
: tic ve 5 \ pri un sf a res : ortgine. nu
: - dbrorts vari tepé cés £onver c'es{ dans cé but bien avoué, le
De KEŸr angl ais durer con et unefsealut de la rare, que je voudrais vous
choc c' cas rudes colons restaient parler ce sol; de la “culture clas:i-
Munotiques et Tiincais qu'aux pre [YueT ‘Après avoir fait bonne ‘ustice
#mirs jours. 1] faut abandonrer tout cert préjrcés, je vous dirai: |
J Éfüeir d'nrélicisatiof Ï probli {a)-la ire, 4b) les blenfaits, et (c) |
tats de cette méthode si un!
t efficace. td
\ ' . :
. agile n Ltarït érmné
ue C4 na
tire
(9) À es 1 ‘ d-
élilation, voyons d'abord le: “principaux pré-
RSS déux £iéments anglals et franents, | juxés". ;
.déms ln juix ct l'harmonie n'resenires Beaucoup de gens, de nos jours, sont
ÊT prospérité an pays 5 | peu sympathiques à la culture classi-
. ee, fut VA le hnt et l'eanrit dun pacte
son parler etavec sa vie fem! Jvettalnds des, nôtres vont-ils ‘jusqu'à
/ ne æ
-Ce qui est étranger! |.
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Instruction générale, antérieure aux
: | Studes profes-ionhelles, ‘est un prin
ripe de force et un gage de supériorit*.
On le comprend sans peine: plus l'es.
prit s'est exercé les’ travaux qui
cnt pour but d'accroître ses énergies
ét d'étendre son rayon d'action, plu:
sussi, et pour cela même, il possède
.. lé'aptitude à exploiter les différents do
maires de l’activité économique et s»-
ciale. Et ainsi, il se trouve que l'ob-
jection de la longueur des études se
ulture classique” qu'elle change en un réel avantage. Puisque
l'instruction aufourdhui a transformé
les conditions de la vie humaine, son
influence a envahi toutes les branches
de la socisté, Elle décide de toutes
les destinées. Elle -dispose de la for-
tüñe, dé la réputation et. du crédit
parmi les hommes. - :
Enfin, un derniè? grief que l'on for-
| mule est celui-<i: c'est’qu'au firma
ment des études classiques les étoiles
sont rares. Et l’on ajoute, ce qui est
plus grave, que beaucoup, après avoir
jeté un resplendissant éclat, se sont
étéintes misérablement (j'entends les
étoiles'). Et l'on tient les études tlas-
+ |éans cette nbnégation de toutes les
re ire
%e
“1
9.
j
:
il
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fr
CE:
|
il
{
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Hell
heures qui Compose la vié d'un instits-
teur chrétien, vous comprenez que
‘tant d'efforts fe leur côté n'ont pas
‘ Que penseriez-vous, d'un élève, au
collège, qui dirait: on m'instruit, donc
je n'ai pas besoin d'apprendre; on me
surveille, donc je ne suis tenu à bien
faire que dans la mesure où je suis
trôlé; on m'’exerce À l'obéissance,
pas besoin de m'y exercer moi-même,
Ce serait absurde, n'estce pas? *
Que penseriez-vous d'un étudiant, à
l'université, qui n'apercevrait plus A+
vant lui que fêtes et amusements «et
ne comprendrait plus Factivité que
sous la forme du plaisir? Ce serait
déraisonnable, n'estce pas?
Pour ma part, je plaindrais les maf-
tres qui auraient pour élève un pareil
jeune homme, car il auraît rendu leur
tâche ingrate et stérile; je plaindrais
{ses parents, car il aurait déjoué leur
| prévoyance; je plaindrais bien plus en-
condamné d'avance à n'être: toujogi£
qu'une moitié d'homme, un être,
daire et manqué. Mais je çn'oserais
jamais at le cours classfqjüe, ni
en vouloir, sérieusement à ses pro-
fesseurs; car fl restera toujours éta-
bli, en saine pédagogie, que l'éducs-
tion n'est pas-un traileñient qu'on duit
à la patience, à ia piété, donc je n'af
core ce jeune étudiant car il serait,
a
Dans
lique dé l’At
Ù
œ
ses flots blancs sa ceinture vio-
. d é
uvenirs de mes Soixante Ans d’Apostolat””, le vicaire aposto-
baska se révèle le conteur incomparable que connaissent,
:. tous ceux qui ont eu le bonheur de l’approcher. . Aussi l’ouvrage obtient-il
‘un grand succès, en Europe comme en Amérique.
En vente au bur ue la ‘“Liberté’°
619, avenue McDerot ° . . 25
qe rer
EN À à
4.
ans d’Apostolat |
\
‘
: de jeunesse et de bonne humeur.
. H nous dit lui e que les sau-.
vages. l” d'un bien
grand nom qui signifiait “l’'hom-
me qui prie et qui a un menton
abondamment poilu.” Quand'il
parle, en effet, sa barbe bat de
lette. Sa manière de conter est
inimitpble, bien que sa dignité
reste entière.
Gabriel-Louis Jarray, .
. (France-Canada)
ï 2
{
’ ee
Prix: $1.40 franco op, =
Winnipeg, Manitoba
que. Il y a de cette défaveur plusieurs | “iaues responsables de toutes ces
motifs. Mais le premier qu'ils s'en gâchées, en-apportant pour raison que
fédirat do 1967 La constitution laits pa
vont répétant sur tous les tons, est | "est l'éducation qui fait les
Lune larre anfonomie aux provinces
subir, mais une oeuvre commune où
l'activité de l'élèse doit conspirer aver
rfes: en particulier, les questions
fôatives À l'éducation sont de lenr
emaire exclusif, _ l'opposition
Yinise notifiaerme.
faelle de faire Infprirâter le texte ni à construire une machine, ni.
Rppstlfutionnel À en pute En tont
cas. ce,ne fut pas la paix romplète rt
dénitive, .relle ane Y°7 Canadien:
, francçcals avnlent drolt d'espérer.
2
walcpendant ce qui nous na toujour
BA V8 à travore ( LE HIETH ET E)
leomr'exit{ de ln vie ranadionne rest
. "I! Ints@iait | ne peut aider ni:h tenir les comptes, . :
es à _permettrai d'apporter une distinction 2
celui-ci: ‘
C'est inutile d'apprendre du grec et
mes”.
Eh bien, non, mesdames et Mmes-
du latin. Dans la vie pratique, cela | Sieurs, les études classiques ne son:
pâs aussi. que cela, et je me
aire aller un commerce, cela ne ser: | °°t aphôrisme qui dit que “l'éducation
de rien absolument.
thode surannée, un héritage du temp-
C'est une mé- fait les hommes”.
Si cette propos!
tion était rigoureusement vraie, si l'on
s-: Le: conditions de la vie mo |Pouvait faire des hommes comme on
exixent une tout autre‘ prépa
ralicu ° ;
fabrique des machines, il suffirait d'a
voir de bons matériaux, c'est-à-dire
"nccdc, Lieu volontiers, que le des natures saines et un bon plan de
6 sur! tue l'on a toujours apporté à archand vu | iudusirie, ait pas soû- | Construction, c'est-à-dire une bonne
dpegner on À faire donner aux enfants, vout ioccusiüuu de parier latin avec
LEE 4 Lg, torce nine Îci'au Menitoba ét
dan: | rio, une cuifture €ùu rapgo!t
dVEc leur crigine e: leu at
= dre: él eité6l, 5 KQut Gariz. "#t
_*'gnie de Québes, pe s'est pas crue 21
tonisce rañ'eor à pu
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CO | 4 seule expression qui tradui-
us Se ceéqu: l'on éprouve avec ait
h aie de" maadi Le
\ atlädement obtenu nar le re-
\ Palel l'asthme du-Dr J-D.
à leg est impossible à quuli
À État le bien-être et le re-
, la souffrance indici-
À He. respiration devient
\ e‘et les tubes des bron-
| se nettoient comp'ètement.
. ER con prix pour tous
+- qui l'emploient.
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micycu habituel de fâire Yenir. ae
Mais n'empèche, ce
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LA [ 44 COL-
pm aude de louut ce
ai casce torie, entti-
cuuselilerais furte-
iude patiente et iufatigabie :
Li et du latin”.
£u£a, voulez-vous connaître le sen-
.d
227 | tlment d'un industrie] sur la question?
C'est le roi de l'acier, en personne,
qui parie, Carnegie l'avouait en 1896.
en s'adressant aux élèves d& l'Univer-
lié de Cornell: “En supposant, disait-
il, des aptitudes égales de part et
Jj'autre, le gradué de collège l'empor-
téra toujours sur celui qui n'a point
fait d'études, parce qu'en définitive
c'est l'instruction qui Éompt:". Et
dans son livre sur “L'einpire des af-
faires”, il écrivait en toutes lettres:
“Le diplômé d'université possède des
idées plus-larges que celui qui a été
privé d'éducation universitaire, Il dé-
passera infailliblement celu} qui, une
L
méthode d'éducation, pour faire à vo-
Ce L'est pas, pour eux, lonté des hommes distingués et ver
tueux. Or chacun sait qu'il n'en es:
rien et que les meilleurs instituteurs
êe-la-jeunesse sont lôin de travail
À'Coup sûr à la confection des petits
chef#d'ceuvres qi. cencernent leur
état,
D'ou're part. sf cette proposition
tait rent fausse, si l'éducation
dans la valeur future
ia reçoivent, ce serait une
£ T Uunertie e u con
sons ic', à la forma
K.:t morale des jeune
pourrit-cn expiiquer te
arrer
it
#4 er:
celle ‘du maître, où l'un ne doit. pas
pour donner, où l'esprit, où le coeur,
où l'âme tout entière doivent travailler
à leur culture avèc ceux qui les culti-
vent, pour partager avec eux le mérite
de l'effort et la joie de la récompense
Et ainsi, libres de tous èes préjugés
qui auraient pu comme un nuage obes-
curcir votre intelligence, je vous dirai
Paintenant ce que c'est que les études
classiques. ,* :
: Lit
, Et d'abord, quelle est leur nature?
C'est un enseignement de culture
générale, qui a pour base l'étude des
langues et des littérature anciennes
et dont Jes lettres sont ie principe
tif de formation : ÿ ;
1—C'est, avant tout, un enseigne
| ment de culture générale. Ce mot doit
s'entendre en un double sens,
Cette culture est général d'abord
parce qu'elle donne à l'esprit des clar-
tés sur tout. Ainsi le jeune homme
qui s'est décidé à embrasser la car-
moins faire pour recevoir que l'autre
= = « rs : | Q l D RP RC 3
rir les bonnes, les fortes, les durables
qualités ou habitudes intellectuelles
qui la rendront fondamentalement apte
à toutes les fonctions d'ordre : supé-
rieur. 11 s'agit de remuer assez pro-
fondément cette, riche et précieuse
terre de l'esprit afin qu'elle rende en
son temps trente, soixante et cent pour
un, c'est-à-dire le maximum de son
rendement. Il ne s'agit pas de culture
encyclopédique, ne donnant le plus sou-
vent au jeune homme qu'une supéri2-
rité de surface, un faux brillant, un
vernis illusoire de science ou d'érudi-
tion. ‘Il s'agit de culture éducative:
dans toute la force du mot latin, auc-
mentant la valeur intrinsèque, la qua
lité foncière de. l'esprit de l'homme
tout entier. Voilà la fonction propre,
le rôle esentiel du cours classique:
procurer à l'élève la formation géné-
rale qui met en valeur son intelligence
et les autres facultés de son âme rai-
sonnable.
‘2.—Cet enseignement ensuite met à
rière deg sciences s'y trouvera prépa: |; base l'étude des langues anciennes
ré. L'ingénieur profitera de ses ma-
thématiques. Le futur historien con-
!
raison en est bien simplé, c'est qu'il
y a harmonie et parenté entre le génie
:ran! «{mbat entre les maîtres chré-|naîtra déjà une partie. de l'histoire. | 4. anciens et le nôtre. Au point de
‘us 9t les éducateurs sans Dieu?
Lrqu0! du côté de ceux-ci tant d'a-
mpzrer de la jeunes-;
de ceux là tant
1 defendre au prix des
ris sacriïres et des plus gé
uemezts? Dans le cas où
ioctrine. serait fausse, 1l vau-
rieur, ce semble, laisser aller
ICA1K 1U hasard.
alors ce au'il pourra. |
M l r er va pas ainsi La vérité,
bp circonstance, se trouve entré
es" de1x. extrêmes Ni l'éducation
nest indifférente, ni elle n’est souve
raine pour l'orientation définitive des
nes existences qui subissent son ac-
Con A cette sentence inexacte: l'é-
:1°2"l1on fait les hommes, il faut subs-
ner dette autre formule: “l'éduca-
"51. rormmence les hommes et les pré-
“re à s'achever eux mêmes”. Alors
2 comprends. s
Que l'éducation soit l'affaire de ceux
qui s'y consacrent, ce n'est pas moi
“qui le conteéterai; mais qu'elle ne soi:
pas aussi ét surtout celle de chaque
étudiant, c'est le préjugé, mesdames
ft messieurs, que je: voudrais arracher
de. vès esprits. Que les efforts des
maîtres doivent tendre À révéler le
devoir, À le montrer impérieux, à la
peindre aimable, À faire voir le mal-
beur de Ia viplation-de la loi, À écarte:
de la route les obstacles, à mettre à
la portée de tous, les exemples, les enu-
Couragemients, les facilités qui provo-
quent au bien et en adoùcissent' la
pratique; tout cela, c'est léducatidà
en tant qu'elle dépend.-d'autrai,-"#
ce u'ést'pas l'éducation tout” entière.
1! reste que ce bien aperçu, recominan-
lv
La “
Il en sortira.
Le prêtre aura ‘reçu la base de sa for-
mation. L'avocat, l'écrivain, le jour-
| naliste seront déjà initiés à leur pro-
fession par l'étude de la littérature.
Et si le jeune étudiant ne veut se spé-
cialiser en aucune branche, il aura
néanmoins des connaissances sur tout,
il sera outillé pour la vie.
Cette culture est générale encore par-
ce que les connaissances qu'elle embras-
se sont celles qui doivent être commu-
nes à tous. En effet, au cours classique,
les sciences, les mathématiques, l'his-
toire, la religion, la littérature y sont
enseignées, Toutes les classes de lz
société peuvent en profiter, chacun
peut y recevoir une culture qui l’aide-
ra dans toutes les situations de la vice
Tel est üonc l'objet du cours classi
que: c'est la culture générale de l'es-
prit humain. Son but est de mettre
en valeur l'âme humains et toutes ses
facultés, c'est de développer ses res-
sources intimes et de lui faire acqué-
Médecine toute préte — Vous
wavez pas besoin de médecin
pour les maladies ordinaires
quand vous avez sous la main
une bouteille de l'Huile'Eclec-
trique du Dr Thomas. Pour la
toux, le rhume, le mal de gor-
ge, là bronchite, elle est trés
gite rit pour les écorchures,
les brûlures, les’ foulures, les
douleurs, elle est sans égale;
pour les coupures, les blessu-
res, elle est chstrisante par ex-
«n’a pas besoin
vue intellectuel et esthétique, nous
sommes de leur race. Le Canadien
français est issu de race latine; sur
son âme ardente et fière rayonne le
génie latin. Sans échapper à toute
préoccupation utilitaire, 11 tend d'ins-
tinct et de pratique vers l'idéal. La
haute culture classique s'harmonise
mieux que toute autre avec l'idée qu'il
se forme de la civilisatiob et du pro-
grès, avec l'objectif qu'il poursuit, avec
les aspirations qu'il caresse, avec ia
vocation de prosélytisme religieux et
d'apostolat social dont il sent en son
coeur brûler la flamme. En suivant
donc.les anciens nous ne risquons pas
de sortir de notre voie. Ils sont, nos
| vrais maîtres.
* C'est pourquof il est vrai, au pied
de la lettre, que l'enfant apprend le
français en apprenant Île latin et le
grec, puisque la langue française eèt
fille des langues classiques. J1 n'y-a
méme pas d'autre moyen de l'appreu-
dre au sens scientifique et complet Ju
mot. C'est pourquoi aussi la connais
sance des Jaugues classiques est chez
nous une nécessité au point de vue de
la conservation -de la langue nationale
elle-même. Sans compter que le latin
est pour hous la langue du Pape notre
père, de l'Eglise notre mère, Ja lan.
gue de la grâce, des sacrements et de
la prière liturgique, la langue de ces
phalanges glorieyses de martyrs, de
saints, de docteurs, avec lesquels nous
sommes en communion, dans tous les
temps et sous tous les élimats Le
latin, c'est la langue officielle du mon-
patriotique dans vos enfants, n'avez
vous pas là une occasion exceptionnel-
ment propice de leur fournir l'un et
l'autre de ces deux grands biens, en
procurant à quelques-uns de vos.fils
l'avantage inappréciable d'u
classique? - ;
: Le Collège de Saint-Boniface veut
être dans le Manitoba une forteresse
de haute éducation dont l'influence ca-
tholique et française rayonne sur tous
les miltéux où'il- travaille. IT régle
dans l'intention de son patriote et gé-
néreux donatenr un bastion de défense
où la “race Canadienne-française doi:
trouver armes et munitions pour :les
luttes nécessaires. Il,assure à tous
les jeunes gers qui viennent lui de-
‘cours
supériorité victorieuse qui est celle
du cerveau. Jl assure aussi à tous
nos jeunes compatriotes de l'Ouest ce
culte de leur langue, ce goût du tra:
vail intellectuel, cet attachement à
leurs traditions de raCe, sans quoi les
jeunes sont- inaptes à continuer l'oeu-
vre de survivanre à laquelle se sont
sacrifiés les anciens. Ne vous sentez-
vous pas disposés, mesdames et mes-
sieurs, à seconder, à ehcourager de
sable et si éminemment patriotique?
Enfin, dans cet enseignement, le
principe actif de formation appartient
aux lettres, parce que l'objet de toute
édutation c'est de préparer le jeune
homme à la vie, et les lettres sont lo
miroir de la vie. C'est à elles qu'est
confiée le soin de façonner l'esprit,
parce que seules, elles peuvent Jui
donner la souplesde et la variété des
ressources, Ja finesse et la pénétra-
tion; seules selles peuvent développer
dans .un ensemble complet et dans un
juste équilibre toutes ses facultés:
l'intelligence et la volonté, comme l'I
magiuation et la sensibilité.
Voilà pourquoi elles sont au centre
de l'édifice. L'histoire et les sciences
ne leur ont été ni sacrifiées ni même
subordonnées, mais groupées et 6r-
++ “Se
lité et tient compte de toutes ses éxi-
gences; Car avant d'être un savant,
un ingénieur, un médecin, un archites-
te, il faut étre un homme,
. Beaucoup mourront sans 4voir ja-
mais eu à utiliser les notions qu'ensei-
gnent la géométrie, l'algèbre ou la cni-
mie; Mais tout qu long de leur vis ils
auront'wu à dépenser ce trésor d'obser-
ration. @ sagesse, de rêve, de poés:e
bistinguée et la plus vaste qui fut ja-
mais, des relations les plus. fréquen-
qui se trouve enclos dans Ja littérature
c'est pourquoi l'enseignement classique
[° reçu des hommes reconuaissants Ce
L
tes, les plus intimes et les plus im-
portantes. Or, mesdames et messieurs,
vous qui avez à coeur la formation
religieuse et 1e développement du sens
mander une culture classique, cette|,
toute manière une oeuvre si indispen-:
a — ——— +
Ÿ ;
beau ñom “d'humanités”. J]1 a tra-
versé tous les siècles, survécu à tou-
tes les tourmüntes, et, les unes après
les autres, toutes leg générations se lo
sont transmis comme un précieux, h-
ritage. Et rien n'est plùs beau pour,
les humanités classiques qüé. d'avoir
servi ainsi-& élever le niveau l'es-
prit humain, comme rien n'est p
lidarité qui lie leur cause avec cefls
de la religion elle-même. Elles sont
comme l'arbre verdoyant qui ombra-
ge et protège la source. Sans douto
c'est la source qui fait‘vitre l'arbre,
mais l'arbre n'en caugera pas moins.
quahd même son agrément, sa
et son utilité propres.
HT
Et nous sommes amenés ainsi aux
bienfaits spéciaux des huMmanités clas-
siques: :
Elles forment tout l'homme ou du
moins tout ce qui dans l'homie règne
et commande: son esprit, 8a volonté,
son Coeur, Elles épurent aussi le goût
et mettent dans l'Ame-Un merveilleux
équiltbre. :
Ft d'abord, élles forment l'esprit,
en nous forçant à penser. Et ca:
n'est pas là le plus mince avantage.
Car 1] faut bien nous rappeler que
c'est par ja pensée que les peuples
comme les individus sont grands. Auÿ-
si un des plus inappréciables bienfaits
de l'éducation, n'est-ce pas de dévelop-
per et d'affermir dans une nation la
facuité de penser aves force et ave:
justesse, u'éstce pas dé faire goûter,
non plus à quelques-uns, mais an
grand nombre, les. plalsirs que don.
nent la pensée et le coeur; n'est-ce
pas d'empécher ainsi 16 peuple de tohi-
ber dans de viles ct grossières jouis
sances, en Jui faisant aimer celles qui
sont uobles et élevées? L
Or, c'est là précisément le propre
des humanités classiques, En algui-
sant l'esprit, en lui ouvrant des hori: :
zons plus larges, 'en sollicitant la cu-
riosité intellectuelle, ‘elles élévent «1
nous cette faculté par laquelle nois
ressermblons aux anges-et à Dieu mc
| me. Elles préparent, au sens le plu:
juste et lo’ plus strict du mot, des
donhées autour d'elles. Et'un tel ea-| hommes capables d’habiter les hautes
seignement, bien join d'être artificiel | sphères de l'intelligence, de compren-
et arbitraire, il est calqué sur la réa-| dre et d'aimer Je vraf, le beau, l'idéal
meñt que d'autres les branches du 4a-
voir qu'ils avafent paru négliger tout
d'abord. Partant elles Tont quelque
chose de meilleur, de plus fécond ct
finalement de plus pratique que l'in-
truction qui ne se renferme que dans
le cercle des coünaissances utiles. El-
les apprennent & raisonner, à imag::
ner, à combiner, À expertiser lès pré-
jugés des Conitéiéstites céttäines, à
rechercher la vérité qui est le premier
5 … (Suite À la onzième page) {
et wième de cultiver plus ses au es
glorieux aussi pour elles que cette so à
beauté
rêvé
de
ed
A Ÿ. t L ; .
Les cartes de souhaits exclusives de
Dingwall coûtent si peu et sont si
stocks sont
es: KT
au, grand
Sn ir
de l'inspection de’ toutes nos be
RES
| Vous avez réellement avantage à
faire votre choix dès maintenant,
laissé certaines lacunes, si eti a iées, que vous ne pouvez ; pendant que les stocks sont au com- Re
“ os ; xd pe lier gs de vos amis, Nos! . plet. Un petit dépôt suffira pour
“ Fempli sa mission on ce qui concerne dérsins sont très expressifs el très” placer votre présent dans nos voûtes
7. 18 volonté, qlle n'a pas travaillé en originaux. Failes votre commande | d'emmagasinage jusqu'à ce que vous Fe
fs aujoufd'hui. RUE « Len ayez besoin. - ALT | LIEN re
Or, lés humanités classiques, à cau- Re eLLT ui Re, » 4 4 /
; ” -whaporte quelle autre discipline inte]-
PA
{at ne devait pas être meilleur. Mais,
+
‘ &.eu plus de travail per$onnel, toutes
.érir de la volonté. Es eflet, el
Présentent plus de ‘difficultés que
“léctuelle, et partant elles exigent une
Plus grande somme d'énergie. Ce ne
ferait peut-être pas :à un titre à uns
‘ recommandation spéciale, si le résul:
fout le monde admet en thèse générale
qu'il ÿ a proport entre le dévelop
pement de la volénté et le travail per-
sonnel qu'il & coûté. Et jà où il ÿ
‘Choses égales d'ailleurs, 1} y aura une
culture plus parfaite et par cela seu]
les études classiques garderoht tou:
Jours, malgré tout, leur -supériorit£.
Car enfin, l'exercice est Ja condition
sorte, et notre pauvre langue françai
se ne serait pas condamnée à ees exer-
cices de clown. LE)
Enfin, les études classiques met-
tent dans l'âme un merveilleux équili
bre. Grâce à elles, l'esprit reste éveil
lé, Ja mémoire fécondée, le jugément
rectifié, l'imagination accrue, avivée
et disciplinée.. Si vous me demandez
la raison d'un si heureux hénomène, |
je vous répondrai: c'est parce -que sur
ce tlavier formé par les mains de tant
de génies et de tant de siècles, il n'est
pas une impression naturelle, délicate
ou profonde, énergique ou tendre, es-
FE ou philosophique, qui ne ren-
contre une note mélodieuse ou puis-
sante pour la traduire.
elle qu'ils opt 6
volonté du Yainqueur ces garanties et
ces ‘droits qui devaient sauv er
notre autonomlé ‘et Tonder pour tou-
cateurs que ‘nous devons ces triom:- |:
phes. C'est à elle qu. nous devons ls
survivance.de notre peuple. |
Je: ne’ sais pas, mesdames et mes
sieurs, quelle sera, au cours du vingtiè-1
me siècle, notre Anfluenbe ethnique
dans Ja lutte des races et des natio-
nalités pour la prépondérance politi
Û
Dans le département dela porcelaine
Notre section de porcelaine remaniée, avec
ses nombreuses spécialités exclusives, ressemble
à un pays de fées;. doucement éclairée avec des
lumières voilées, elle reflète des myriadeës de
* teintes et de nuances agréables. Un très impor:
tant envoi de services en jolie-porcelaine anglaise
vient. juste d'arriver. 1] est. important, à cause
des dessins inusités et aussi à cause du bon
. IL est merveilleux de.
voir.ce que peut faire la
mode, même dans une
chose si ordinaire qu'un æ
: parapluie:
chant Ja beauté, elle n'a
pas du tout
. tilité dans les nouvehux
rapluies Tom Thumb
ls Sont courts, mais as-
sez larges pour tenir à
l’abri la tête et les épau-
les —:et là
$5.00 seulement. Il y a
Argenterié de bon marehé
En recher-
sacrifié l'u-
L'argenterie Dingwall occupe une position éimi-
neute dans le domaine de la ‘bonne ârgenterie.
Notre choix, cette année, à cause de la variété,
de la distinction dans le dessin. et des prix qui
CL
+
ont été réduits, montèra encore en —
cadeaux en argenterie de la plui bèlle qualité : à
sont vendus $2.00 seulement. L'échantillon illus-
prix est de
: S : " : € î ‘ol: tré ci-dessus se vend $11.00. 11 y a tant de possi- ,
indispensable pour acquérir de la v> Aussi le jeune homme qui.a reçulque et le progrès de la vie intellec: eg go Aurvd er seau poeme d aussi quel ques g° 4 | bilités pour vous dans ce département, que vous. :
lontä, aussi bien que pour fortifier 14 | cette culture générale, bien qu'il ne | tuelle esthétique et morale. Nous ne + es Mels-voué-ponetateres-que-les-éseuise 2Ù -dèles dans ui, éga-.
Membres du, corps. Et c'est un fait
que les études classiques ne livret
leur secret qu'aux persévérants, qui ne
soit pas prêt à entrer de plain-pied
dans la vie active et payante, cepep-
dant il est devenu un homme virtuel.
sommes jamais sûrs d'un ‘siècle, de
prospérité. Nous avons toujours à
craindre l'invasion d'un courant ‘des-
les prix sont faits pour répondre à tous les besoins.
lement à $5.00. :
. devez absolument comparer les prix aussi {ôt que
possible.
\
*
x ‘ { / LS" VEN ki NE
ns È \ f =
répur®- dt pas aux recherches péni. | lement complet qui se distinguera tou-|tructeur. Mais ce que: je. sais bien . cobicée- À Q ] i ER N
bles. Mais aussi quel profit, quels | jours de la masse par la puissance de | et n'hésite pas à dire, c'est-que nos -Notre Rayon de Diamants offre des _ Valeurs Exceptionne les te PR
sinntages ne retire pas l'élève de c:3 | son intelligence, la vigueur de sa pen |institutions sont appelées à perpétuer ne C'est un fait bien connu que lé nom Dingwall sur un diamant lui assure la reconnaissance d'un |!
exercices cent fois répétés et où, mille | sée, la justesse et la sûreté de son. ju. |l'esprit français par tout le'Canada ct | parfait diamant “Blue White” avec le maximum de brillant. Nos artistes et nos orfèvres ont excellé cette |!
* embarras se rencontrent créés par les | gement, la richesse de-son imagiyg. | à lui assurer toute sa force. Dès jors à année dans la production de créations orginales d'idées que l’on ue trouve pas en dehors de certains LA
one Coran eee 1e. cons | iles is-Aflaniaene de vus omatiments, | 1 08 de TN Se EE magasins très exclusifs des centres métropolitains. Si vous le désirez, vous pouvez encore obtenir un: |[«
; truction. Cette gymnastique augmen- | la hauteur de ses vues, l'ampleur de|les encourager, à les soutenir et à | dessin exclusif, d’après votre propre idée, & temps pour Noël. Nous serons flattés de vous voig inspecter 0
Doxe, Puissance d'attention, de r6-|ses conceptions, l'aptitude générale à |les faire progresser. . de - notre rayon de diamants, que vous achetiez main{cnant ou plus tard. $ f où:
flexion et de jugement, ce qui est de | mieux saisir et-à mieux goûter le vral,| D'ailleurs tout homme qui a un-coeur ; E | : . Ya j
nee umportance pour la valeur |le beau et le bien. 11 sera devenu plus | noble se sent-dans l'obligation de fairo L'idée nouvelle en- diamants de créatigus Dingwall exelusives, A
intrinsèque d'un esprit cultivé; mais | homme, plus humain, plus capable de l'du bien 4 "ses semblables, de donner ‘ ‘ son Qu te enr re RCE mod hiveno-E:
!” surtout elle maintient la volonté dans | comprendre l'humanité dans ce qu'elle | autoup, GB Jui joie, secours et appui, BAGUES MONTRES LAVALLIERES EPINGLETTES BOL TONS- DE MANCHET FES L 3
une atmosphère militante qui la toni.|a de plus grand et de plus élevé, plus | de collaborer à l'oeuvre commune de BRACELETS PENDANTS EPINGLES : BROCHES . PENDANTIFS | D ©
fe, la. virilise et la rend supérieure à | capable aussi de la servir de toutes | son siècle. Quel champ immense s'ou- : | ° ee
tous les obstacles qui pourraient s'os-| manières.- Voilà jes grands, les jru- |} Vre ainsi à notre activité! La familla, s — re + © _ CRT 2: ENS Ye Re US
posér à ses conquêtes. menses, les incompärables bientaits | la patrie, l'Eglise, avec leurs devoirs, | rie ge CORTE SES À CHEVEUX _: SUPPORTS DE LIVRES CEINTURES AVEC BOL: 7" ju
% Les éfüdés classiques forment en. |des humañhités classiques. jeurs besoins, leurs dangers nous en- CABRRETS M RS es EBÉNE AC POUR L'ETUDIANT CLE ARGENT, OÙ, OR. He
core le coeur, Elles s'en font un IV tourent et nous sollicitent non point POU denied au tar lea due | en bits à à RO:
puissant aüxillaire dans l'oeuvre £i : = seulement comme des suppliants à qui ‘ . Je78 ass
difficile de l'éducation. Elles éveitjent | V°0ns donc maintenant quelques | nous ne devons rien, mais, en un cer- Dee CR
en lui la pitié, l'amour, l'enthousias- | "5 des résultats obtenus. En effet, tain-sens,. comme. des créanciers qu‘! ‘ US : |
me, la fascination. Quel est celui, on | © °5t aux fruits qu'on juge Je l'arbre. | faut contenter. L'Eglise, la famille, . d te
effet, qui ne s'est pas senti ému: de- | Et POur juger de la valeur d'une mé-|,, patrie sont nos grands bienfaiteurs:; 4 - ù AR La Le mé nalere: ati. [ /
vant les dernières heures de Socrate. Fhode, 11 faut examiser Je degré às que ne devons-nous pas à leur prote:- —Dans-beaucoup—de-maisons on - que sppFée ts ! nt apr 2
deyant Ja fidélité conjugale de Pén£- manie Le es en tion, à leur secours, à leur sollicituds sera heureux-d'avoir un de “es Une ceinture en puir: ornée d'u’ ‘
æ lope? Quel est celui qui n'a pas été sr irnnd LEE sacrifices, à leurs précieuses u aux nou. : Une excellente idée réellement ne jolie boucle en or ou en ar-.:
transporté d'admiration devant l'affes- | *°"Mes à même de faire les plus heu- institutions! Paÿons-eur la dette de ons Rs L " Cadeaux toujours populaires, et pour celui qui recherche un ca" gent, avec lettres initiales, lui | À.
à l'héroi reuses constatations. veaux prix de $2.00 ei 84.75. °° jmais plus avec nos nouvelles deau. lis sont remarquablement plaira sûrement. Quelques nou. ; #ÿ
, tion poussée jusqu'à l'héroisme de notre reconnaissance et remercions-les ; dessins « agréables se. | , ;
‘2 2 C'est à la culture classique que : en à quelques-uns de plus brosses d'ébène à poils dé Rus- ärtistiques pour $5.00. Ils sont veaux dessins trés ag ea se, | /
Nisus et d'Euryale, devant la mort en a F doi Peu chaque jour en mous mettant en, état 7e | rie, dans une jolie boîte en cuir, en bronze et ex cuivre. C'est vendent $i ami. Et: - Res
beauté, sur le champ de bataille, de cer} " "ne doit son grafdr acle, # [de devenir des membres utiles à la so- chers, mais nous citons ces deux } $6 50 Vous ferez bien-de faire ‘“üne véritable occasion pour les. pour $3.50; vOUS afez des octu- 6:
‘ énfant de là douce ,Argolide? Quel | 1401 °n revient de plus en plus. Ce ciété et capables de répondre à ce : exemples de valeurs spéciales. votre choix de-bonié heure. bremiers ächeteurs. . siohs exceptioggéliéN.: "2: 1108
est celui qui n'a pas été touché jus-[°°MmMerce des chefs-d'oeuvre anciens qu’elle demande de nous: “. F4 : Énie it , do : :
qu'aux larmes devant les adieüx d'Hec- Ce CT DE Li rh . Nous sommes de descendance fran. ; - FR : su - ce: se ; ù
tor À’ Andromaque, en entendant ces quore de l'esprit, | oise, : ‘C'est ie sang chaud des Laiins - 8 NA PTS re { DT ROTION "QC, SATIN D'EXRFANTS K,
._ paroles tombées de la bouche du, hé|°elt® visueur de pensée, certe jus [entre C'est le sans chaud des Lalins î LE SALON FRANCAIS AGRANDI SECTION DES CADÉAUX D'ENFANTS
- TE “à | Rrobortion entre les facultés, cette sa-| êtres qu x Dans les années précédentes, il a tôu--# À ,
ros troyen: ’ se prit de nos ancêtres qui vit en nous, | RARES | . 1 £s. annees pre . ds
: , reté de goût et cette richesse de style, | . N om- suscite beaucoup d'intérêt parmi les acheteurs de ours été difficile d'avoir des cadeaux '
Chère épouse, en essuyant mes larmes le véritable esprit français. Nous som l l [! RUE à Joui <HiTUci ° .
J'ignore quel succès le sort garde à |‘°t ensemble de. qualités maltresses mes, en conséquence, bien pénétrés de petits cadcaux de Noël, 11 rend le choix si facile plaisant à l'oeil des enfants et obte- 4
es ares: | de = rh 2. se ete vérité, que c'est Fidée qui mène ct ses articles représentent des cadeaux si utiles |] ‘nant cu tie tempa ) shoes Le »
Je te laisse mon fils pour gage de ma . ‘Le con wt rec Avec Jéflie-monde. Forts le ces principes ot ‘ , no qe TS ; Le ‘antiafai Il parents. De diligentes rec ierches ont:
fol, grands écrivains d'Athènes et do Ar ut d'unb lle entière ire 4 qu un grand nombre cn sont très ne permis à nos acheteurs de réunir dé
S'il me prénd, je prétends. qu'il mo |®° leur a valu à eux-mêmes le titre] illons ferme et comibsiions £vec faudrait cette page entière pour décrire sculemen très intéressantes nouveautés: bijou- #
retrouve en toi. | : | ee : os proLsei) ardeuk ceux qui voudraient, par’ des quelques-uns ‘des nombreux artictes actuellement terie qui est un duplicata exact _ #
Si d'un heureux bymen la mémoire] *", *" DOUr obenir cet honneur, | onts impies, tarir les sources on tan: nt our la-preiniére fois : celui dont la maman est sifière, et À
t'est chère, S [et sf J'oso ainsi parier, cette mission, | ne et ds vitalité da la race dont présentés à nos contitoy re : 1 s moins de #2.00; services à couture, ma- ,
Montre au fils à quel point tu chéris- il faut par-dessus tout qu'une raisou nous sommes les fils. .Rappelons-nous nouvelles Jampes, abat-jour, coussins, ornements, gnifiques jouets IUNGL 2” de Lon- #4 -
sais lo: père. | fermo et lumineuse domine. les ee que les victoires remportées par nos pour la maison, fleurs, fantaisies de boudoir, vases, dres, et un grañd nombre d autres d
Voilà comment les études cfassi. |'*Cultés, même les plus brillanks et pères ne l'ont jamais 616 à armes éga! Rs NS AS MR jouets qui réjouiront le coeur d'un enfant. Tous
ques, au cours de leur cycle, excitent les plus originales, pour les contenir les. Pius nos ennemis seront noin- : et un millier autres artiçies Encore. nouveaux, tous différents, tous à des Prix modérés.
dans le coeur les sentiments les plus dans la vérité, l'ordre et l'harmonie. breux, plus nous devons avoir de con . j Se - -
‘ nobles et les plus relevés. Et ce fai- Or,'à ce point de vue, les anciens res- rage. Si les flèches qu'ils veulent ge”
sant, blles foutaissènt à l'homme, au ns hors ans. et nr ne 44 nous décocher allaient jusqu'à obsèur- x + AUAE À +
int de vue de sa vi le, - EPST : COREONYE; A dans 168 li Ja Juinière du soleil, disons avec ; Rp AA Bi, 1° ; :
cours qu n'est pas à dédaigner On |MPlbles aus nous ont laissés, outre [eg 1e IvPièrS du soleil. disons avec Les Cadeaux de Qualité en*Bonne Bijouterie pour Tous. ,
L ie la netteté et l' : », ae è .. ; _æ + : 5 * |
pont mème \nffrmer que l'infuen-q ua nue re Roc POoRE nous -combattrons à Tombe!” à poussént tant de gens à acheter Me bonne heure, qu'il y a un réel danger de voir les stocks sérieusement -
des sentiments sur les US pe de proportion, une iviondoer de bon JAI: restons toujshre ce. que. nogs dégarnis avant Noël. Ces cadeaux ont tous été choisis -—- ct ils Sont attrayants pag-leur beauté autant que
PROUTTS PALDNNS, Erhnde. Ghe. colle ge LT acontre guère -Je | "MS S'en à dire demeurons none. ar leurs prix. : Nous attirons spécialement l'attention sur hos nouvelles créations Eh or blanc, qui sutit sans
‘ facultés supérieures : sur les senti- nt-0n;ne rencontre -guère je mêmes, issus des vieux Gaulois et des au . d ñ de de de la saison “s '
monts. En effet, ces derniers agis-|"°1et Que cheg ceux qui se sont for- Pronts . aucun doute Ja grande mode ‘ ; 5
- cu més à leur école. C'est bien ce que | ! 4 : : à éc à ( Brochés, à partir de.
, \ f : Baguësnouveauté, à rtir Epingles À écharpe, à partir roches, à partir de....93.50
10 volnté où ses cémens ne qu [Peeait l'ilestie poatiée Léon XII | emmmbennine _— Roi tr ass dE MS Un tendre: :#325 Epipgles, à partir de. 95.00
stimülent à l'action, mais encore {ls |/0rfaue dans une lettre au clergé de L’ . ne .,,0 Bagues onyx, à partir de $4.50 Madséditses Fer dames, à Boutons de manchettès, à Epingles dé bébés, à Te
: R RÉ si f Fyânce sur les études classiques, il origine. des calculs biliaire Epingles en or blanc, à par- te de. .., partir de ..,,:1,:,.,0, $5.00 | DS APOE STE td
les aident à s'appliquer à 1è objet Li ce x : tir de $10.00 partir de ... 83. Couteaux, à partir de...97.00 Bracelets, à partir de. 821,00
avec désir et avec passion, avec inté-[ "salt: "Ce sont elles qui out forms| : Bagues avec perle naissance, Bagues-signet pour messicurs, Boucles de ceinture, à partir Pendants d'oreilles, à partir !
rét et avec persévérance.” Tant {1 est |!°5 hommes éminents dont l'Eglise de| C'est ‘tout simplement de la bile à partir de .......... 82.50 à partir de #....,.,.. $6.00 D nes sscnosss à $20.00 RURAL É LEA ROT $10,00
vrai qu'une sensibilité harmonieuse- ance est fière à si juste titre, les P<- séchée constituée par les éléments ‘ ‘ :
ment réglée, bien développée et pro- tan,'tes Thomassin\les Mabillon et tant cristallins de ce fluide. C'est une| =
: fonde donne. À ja vie morale force et d'autres, sans parler de votre Bossuet, | najadic très fréquente chez les mar- - — -
re peretiqn Out Li par Félévation den ponnces, vor |ehands, les prêtres, Les filles d'usine. Nous nous sommes. eflorcés de faire 1e LE PLUS BEÂU MAGASIN DE -
srfection! € ‘saus en- a5on tes, soit | Qui bitudes sédentaires. st pl eee ns 1 pps
perfection! Car un homme saus en : qui ont des habi [ e d ipeses à de : 1QpÈr ;
train, que le sentiment ne stimule | P#" là noblesse du langage, sou génie | Bour prévenir celä;.il suffit de main- hr enr eee ge nr BIJOUTE UE DE L'OUEST ;
point, n'a que la moitié de ses forces | Plane dans les plus sublimes régions | {enir bien le foie et les intestins. On | es Fe Sénee à fes CANADIEN ; Ë
pour le bien. Le triomphe est donr de la ‘science et de l'éloquence chré obtient cela rapidement en usant des respectueusement nos clients ha trs ph .
; ° .. É “ n e
complet quand l'intelligence ét la vo tienne. | . . | Pilules -du docteur Hamilton. Au- | al sus de DE DR pénis pret
lontég le coeur et le sentiment s'unis-| ©°st à la culture classique en-|cune personne usant des Pilules du! désappointements. sez VOS
sent pour tendre au même but, Et les |°°7t.que le dix-huitième siècle est re- | docteur Hamilton n'est-sujette à des , maisinnat à lolair, di pensant Que les suis:
! + Et les . rene ; ments ; -8t ”
humanités ‘classiques - opèrent eetté | *Yable de ses hommes les plus illus- calculs biliaires. Pilules du doc- légèr, dépôt, vos achats seront placés dans nos
merveilleuse harmonie, et elles sont|t7*5- 1Æs Fontenelle, lés Daguesseau, |feur Hamilton assurent une saine coffre-forts jusqu'à ce que vous en ayez besoin. à
seules capables de l'opérer les Roliib, les Buffon, les Voltaire, ces digestion, un bom appétit, un teint { L
x Ç / S ; n i ° À
De plus, les humaités classiques [5251 - sont lous des gréco-latins cjair Elles sont les meilleures et
épurent le goût. l'est bien vrai] Quant aux écrivains de marque, prosa-|je plus efficaces comme remède de | ;
k teurs ou poètes du dix-neuvième sié-| famille. Quand vous avez besoin ; 7 + \3
— l'tle, ils t bien rares ceux qui üe!d'ün if, que vous vous sentez 14 PE Cr)
’ Un grand nombre de mères |d°!vent pas &'leur commerce avec l'an-| peu en condition, c'est le temps alors la ; è ne Ci. “AP
ol i à is- | tiquité le meilleur de leur talent. Du] de i Pilules de Mandra- k ‘ : ’ ET ET he
euvent témoigner dé la puis recourir aux es de Mandra- PRE TEEN rat es D MERE
: ar e * Mother Graves Worm®oins on peut dire à coup sûr“que| gore et de Noix de, Beurre du dôc- , “PRESTIGE SANS PRIX-EXCESSIFS PEN NE *Lrness aa
: i foent-le- plus d'honneur-saux ilton. 25 sous chez tous les RE CORRE A MO RES 2e ONE “ANSE Lune: 22e TN ed ol
__Exterminator, parce qu'elles | <°ux-aui fe S L. i
cri lettres françaises sont aussi les plux! marchagds on The Catarrhozone Co. A ai: ie
tonnaissent par expérienée son ee +8 1 ! >
| utilité. du fidèles disciples des vieilles humanités. Most pis tas te Fa k
uw À / \ CA k / d ? . à ; PR : : Chu. 5 EEE
7! A î CAL 4 FN (N . ‘ ‘ y LM * ++ + Lis
‘ F + Lie È . k F RE « DENT ee ur SRE
‘4 Fi x ? 4 ÿ : » Pt \ 7 D ; é s 4%; id Dé AE de ie D: #48 SU An. di |.
QE TA
”
ae
achet s mi A
eu- son -Cortillät. : C’est alors qu
darit à ane inspiration qui ne
avait point encore-visilé, il
avait dit, devant Mme Cortillat,
cetie phrase que jamais il n’a-
vait encore prononcéé el qui,
une semaine auparavant, était
bien loin de sa pensée: “Reste
à savoir si ces meubles convier
dront un jour à ma fémme!”
Depuis te jour, l'idée du ma-
rage était à demeure dans don
esprit: äl ne °c it pas à
Pen-déloger. ” Il semblait qu'an-
tout dé Jui, on s’employât à l'y
naintenir. Comme il avait fail
don à l’abbé Tharot d’un très
beau calice d'argent doré pour
le remercier de son hospitalité,
le y Ag Wui-dit: “Mon cher
ami, le calice messervira pour
la première fois quand je célé-
brerai la messe, le jour de votre
mariage. De grâce, ne me fai-
tes pas trop attendre!” Pierre
Bravières eût voulu promettre
à l’abbé Tharot-cette joie que,
dans un temps prochain; il'au-
rait à se servir du calice, mais
rien ne l’autorisaït à ‘offrir un
tel espoir au doÿen. Ce jeune
homme avait envers la vie de
singulières exigences: il récla-
mait d'elle plus que trop sou-
vent-elle ne peut donner. Pier-
re” était de plus en plus résolu
à n’épouser que la jeune fille
qu'il'aimerait et dont il serait
aimé. - Il ne concevait pas une
union indissoluble, éternelle,
sans un amour fort et récipro-
Il se disait ua
force un peu abrupte et cette
un | douceur un peu massive. .
& sa mière rencontre
avec elle, Pierre Bravières avait
subi le € qui émanail
{d'elle et contre lequel il n'avait
or rer à "
dre: “Dire, pensaitäl, que |
devant moi la fille du vieil-ours k
l'avec qui je ss én guefrce!
mu malheur pour cette énfaiit
| ‘avoir un tel pére!. Quel mal:
heur plus grand ercofe pour
elle, d'étre forcée de vivre avec
nilüi! Ce qu'elle doit souffrir!”
-|Mme Poncet à- qui. le lendt-
aucun, Mme Poneet, et dans main, il fit part de ses ré-
courts instants où elle s'é-|flexions, se garda btende le dé...
cartait du sujet, qui, de toutc tromper. Elle pensa qu'il était
évidence, tenait au cheur de sa | de l'intérêt de la cause qu’elle
| nle, jeune homme ne pou: |servait de représenter Françoi-
-. #ait s'empêcher de souhaiter |se Clianteau comme une vicli-
.: qu'elle y revint, LL .|me, une martyre qui devait su-
: Elle y revenaît très vite, avec |bir, chaque jour, les emportc-
© Mn élan qui ne faisait que croi- | ments, l'humeur âpre et despo-
ve chaque jour: -elle s'était tique de son père, contre laquel-
A6. ue | cd médecin s’in-|le la nature moutonnière et
te ? à Françoise Chan- | passive de Mme Ehanteau né:
eau qu'à sa sciatique. Mmc | tait qu’une médiocre défetise.
À a n'était point tentée d'eu Heureusement, la vérité n’é-
reproche au jeune hom-\|{tait point si sombre, mais Mnx
ne : “Le doyen sera content de | Poneet croyait habile de pous-
moi”, se disait-cllé. ser au noir le tableau des tour-
«La vérité est que Françoise ments supposés de Françoise.
tait fait une extraordinatre | Elle voulait que la jeune fille
impression sur le docteur Bra-|s'offrîit aux regards du docteur
vitres, lorsqu'il l'avait vue à | Bravières avec le prestige de la
la vi des Bruyères. Pour-|beauté, de la grâce. et du mial-
tant, il n'avait guère pu: con-|heur. Délibérément, elle -cher-
uaître de la jeune fille que lés |chait, en exagérant les aspéri-
ägtéments et le charme de saltés de caractère du docteur
Personne. Mais ces agréments | Chanteau, l’inertic de tempéra-
“#t ce charme étaient tels qu'ils|ment de sa, fémme, à apitoyer | à 1 Ï
ñe pouvaient passer inaperçu:. | Pierre 'Braviètes, à l’attendrir|pas que son mariage fût une
vec son fin profil, l'ovale har- |sur le sort de cette pauvre Fran-|aventure. Aussi nc pouvait-il
. Monieux et le coloris délicat de fçoise, fleur délifate poussée en- | donner au‘doyen une assuran-
son , sés yéux bleus etMre deux rocs et qui s'étiolait|ce plus formelle: l’élue, il ne
\ «ses cheveux d’un blond -d’or | dans ce milieu sans lumière ct la connaissait pas. Françoise
qu'elle portait relevés en ban-!sans joie: “Avec les hommes, | Chanteau! il n'avait. fait que
déaux sur les tempes, Françoi-|ccux du moins qui ont un peu|l’entrevoir. Sans doute, et il
se devait enchanter le premier] de coeur, ça prend toüjours”, | était près d’en convenir, cette
regard d'un jeune homme. |pensait-elle, ; Pierre n'avait | jeune fille ne lui était plus in-
Ceux qui la voyaient à côté d: | point contrôlé les dires de Mme | différente. Pierre n'osait s'a-
son pére, grand, au torse robus-|Poncet: il n’y songca pas, tant! vouer à lui-même le travail in-
te, et de sa mére qui, ornéeiles affirmations de sa cliente !tqieur qui s’opérait cn lui de-
- = }a
nirs Co isan-
-était revenue, seiiblait-il.
exprès a une sémaitre
ces visites devétiaient quoti-
diennes, — Pierre la . it
Dm — rançoit Chanteaue Blen
eux, il utait sans déplai
que. tendre
que le mariagé soit célébré
pour savoir sion s’aïmera, c'é-
tait,-pour parler comme les
gens de Brenay, “mettre la
charrue devant les. bocufs”:;
c'était s'exposer à des surpri-
ses, à des déboires, c'était aller
à l'aventure. Et il ne voulait
… ANEMIE, PALES COULEURS, DEBILITE GENERALE TRAITEES
AVEC SUCCES CHEZ LES FEMMES PAR LES
ILULES ROUGES
Je souffrais fréquemment de maux de faible, nerveuse et je n'avais clus les ca-
tête, de palpitations de coeur ; j'étais ner. pacités nécessaires pour m'occuper de mon
reuse ef sentais mes forces diminuer &ha- ménage. J'avais employé plusieurs remè-
que jour. Je n'avais pourtant pas mhn- des, mais sans obtenir de soulagement,
qué de me traiter. Plusieurs remèdes due Un jour, dans les journaux, j'ai lu ce que
j'avais essayés ne «m'avaient pas remise plusieurs femmes disaient avoir obtenu
et il y avait des mois que cet état duræÿt. des Pilules Rouges et j'ai voulu, moi aussi,
J'ai pris des Pilules Rouges, qu'une“agié - prendre ce remède. Quelques boîtes ont
Me recommanda, et la santé m'est reve- augmenté mes forces et, en peu de temps,
nue, Mme Hyacinthe Leduc, 482, rue Wil- j’étais remise, Mme Jos. Delisle, 56b, rue
liam, Montréal. v- Irène, Montréal. ,
Je crois de mon devoir de recommander
les Pilules Rouges à toutes les mères de
famille, car je m'en sers beaucoup. lai
plusieurs jèunes files et sur le nombre il
‘y.en a toujours quelqu’une qui fait de l’a-
némie, de la nervosité; qui manque de
sang. Quelques boites de Pilules Rouges
réconfortent toujours. C'est le meilleur -
remède que je connaisse. Mme Jos: Beau- :
a regard, 479, rue Division, Fall River, Mass.
C'est après avoir pris les Pilules Rou-
ges pendant seulement deux mois que j'ai
vré les forces qui m'étaient néces-
saires. Jé n'aurais jamais cru à un résul-
#
Y
7
Chaque fois que j'ai eu recours aûx Pi-
lules Rouges elles m'ont toujours fait
beaucoup de bien. Maintes fois elles ont
releyé mes forces disparues, ont fortifié:
et calmé mes nerfs, activé ma digestion et
rétabli ma santé chancelante. C’est de
tout coeur que je les recommande aujour-
d'hui aux femmes anémiées. Mme Wilfria
Pelletier, 89, rue Prince, Salem, Mass
Les mères de famille font prendre, &
leurs:fillettes les Pilules Rouges pour leur
assurer une bonne formation,
Fe i ide, car j'étais excessivi ."t , |
ab le ve tout mon istbine se “resseritait . Les rte qui sea de maladies
manque de vigueur. J'avais souvent Internes, d'anémie, eic., trouvent leur sou-
pme de têtes des douleurs d’esto- lagement dans l'emploi des Pilules Rouges.
mac dues à ma mauvaise digestion, et une . En |
foule de malnisez Mme Lucien Laflam- Celles qui craignent les accidents du re-
V3 me, 104, rue’ Putnam; Manchéster, N.-H. tour de l’âge doivent recourir.aux, Pilules
è 1e, sie en Rouges pour aider le sang.à se bien placer
J'étais chétive et faible; durant la jour- £t Pour éviter les maladies les plus dange.
* née je me sentais affaissée a juni d'a- ‘94ses. |
bondantes transpirations. : Différents re- rr' : :
mèdes que j'avais pris ne m'avaient fait COPPES A CATAERS, Les
aucun bien. En dernier lieu j’ai employé M£decims de la Compagnie ique
. ‘4e Pilules Rouges et les forces me sont . Francÿ-Américaine donnent des consul-
. biéntôt revennes. Mon rétablissement à tations gratuites à toutes les femmes qui
été complet et permanent. Aujourd'hui viennent des voir ou qui leur écrivent.
. je recommande lés Pilules Rouges à tou- À À
‘ : tes les femmes. Mme Vve William Biron, Les Pilules. Rouges. sont en vente chez
» rue Robert, Artie, RI. : RE tous les marchands de remèdes. Prix, 50
el, 14 - = sous la boîte. Si pneu ne pouvait les
‘ ARE J'avais de fréquents rhaux de tête que trouver dans sa localité, nous les lui en-.
ERA 'attribuais au manque de sommeil ; j'étais verrons sur réception du prix.
{ -g ar gd: LME cé E = nie de SUR E V'ANTPRT : it -rat NEIL
| à CHIMIQUE FRANCO-AMERICAINE, LIMITÉE, 274, St-Denis, Moutréa]
4 LOMME AE che ; er ,
LL — “Ha 6 ie x -
4 « DA ‘# Can - j
FFE die pds : é 2
PIRE TT Lan PRE"
Da cd de LE NÉ Eee 2
+
Vo 2" DS da
tre Bis la Jeune Me avait Be
voquée-chez hi. Tl évitait
nir men songes ane
venir Françoise Marins
Rire Pere De
urde e r, 1 é
dans le domaine de HE ro
corfrère, de son ennemi, il n'o-
$ait arrêter son
nement aussi invraisemblable:
“On. doit avoir une jolie.
nion de moi dans la maison, s«
| disait-il: les dames Chantean
l'en entendent de dures sur mon
. vompte, et si le vieux pouvait
Lim’éträngler!.” Si le docteur
Bravières eût connu-ce qui
| passait dans l'âme de Françoi-
se Chanteau, peut-être e@til
| laissé ses pensées prendre plus
d’allure et d’audace NS
|: I s’en fallait que Françoise
:Fût “la victime,’ la “martyre”
que Mme Poncet avait repré:
sehtée à Pierre Brawères! Li
‘vérité est que la jeune fille n'a-
| vait point trop
| Famille. Mme Chanteau, en
| perpétuelle alarme sur la santé
de sa fille, traituit Françoise
comme -uhe fermière ses pou-
‘lets de grain: elle semblait n’a-
voir arm souci que de voir
son poussin “engraisser”, pré+
tendant que l’erabonpoint est
un signe de santé, et; s’offrant
| elle-même comme exemplé ét
icomme preuve. Elle passait
ses jours et une bonne part de
ses nuits à imaginer les précau-
tiôns à prendre pour que. Fran-
çoise évitât Je rhume de cer-
veau, et dépensait dés trésors
+dinvention, d’astuce, de téna:
cité pour la préserver: du froid
aux ro ou des courants d’air,
Le docteur avait pour sa #ile
june affection profonde qu’on
:cût très justement prise pour
| de la tendresse, si, par pruden-
ce, il ne l’eût dissimulée sous
lces airs bourrus qui masqu'äient
sa vraie nature. 1l se cachait
| pour chérir sa fille, ne redou-
fait rien tant que de paraître
|“sensiblard”.. ÎL-aimait sélon
son tempérament, €T à sa ma-
Inière, fortement et rudement.
(Sans qu'il y parûüt, Françise
exerçait sur son père un empi-
re d’une irrésistible, douceur
dont clle ne cherchait pas à
'ubuser,. mais qui l’aidait bien
souvent à maïiñltenir Ja paix
‘dans la maison! Que üe fois
[les emportementis..du docteur
étaient lombés- devant la mine
|attristée de sa fille! . Que de
fois une parole, un régard de
Françoise: avaient épargné à
Fsa mère une de ces -algarades
{que son mari ne lui ménageait
| guère!
|. Françoise Chanteau n'était
donc pas une “victime”: heu-
reuse, elle n'avait qu'à se lais.
ser aimer de ces deux êtres qui
ne vivaient que pour elle, La
jeune fille avait vingt et un 4ns
et n'ignorait pas qu’elle devrait
un jour, bientôt peul-être, quit-
ter ses parents, Elle savaii
qu’un jeune homme viendrait
qui serait d’abord l'étranger,
puis le fiancé, puis le mai, le
maitre qui l'emmènerait ail-
leurs, loin peut-être. ;:Bien que
Françoise n’eût aucune raison
de voir en cet inconnu le sau-
veur, le libérateur qui la déli-
vrerait de ses parents, il lui ar-
vivait parfois de penser à lui,
d'appeler le rêve à son secours
pour tâcher de se le représen-
ter tel qu’elle voulait qu'il fût:
elle, aimait ce type de mari
qu’elle s'était ‘créé. Dépuis
qu’elle avait réneontré le doc-
teur Bravières. chez Mme Pon-
cet, il lui semblait que son rêve
s'était précisé, que Fimage si
lointaine et si -indécise auparu-
vant prenait des contours plus
fermes. Pourtant, que savait-
celle du jeune médecin? Toul
au plus, pouvait-elle porter un
jugement sur la figüre et les
manières du docteur Bravières,
Sa figure était agréable, ses ma-
nières étaient fines, distinguées,
mais Françoise avait la sages-
se .de- n’accorder aux attraits
physiques que la considération
qu'ils méritent. Elle n'avait pas
la sensibilité d'une petite eou-
lturièré qui attache son coeur
[aux moustaches du beau -eui-
| rassier qui: passe; el Françoise
ne pensait pas qu'une paire de
larges épaules, avec leur presti-
ge de contreforts étayant.: une
haute bâtisse, fût nécessaire à
son bonheur. Assurément, Pier:
re Bravières manquait de pres-
‘ble. Lui, épouser la fille de-son |
ésprit à un évé-|
à pâtir dans sa.
; ve Lorsqu'on pronon-
ait nom de Bre-
vières, ell
Bourg, : la maison.
Quand'-Frahçoise se. trouvait
seule dans ta salle à manger, il
rir d’un élan jusqu’à la fené-
tre, de soulever le rideau d'un
doigt discret, pour voir passer
le-médecin, et de le suivre dés
yeux jusqu'au moment où ta
Voiture disparaisshit au tour-
nant de Ja rue des Fossés.
Ce besoîin d'affection, de ten-
dresse qui était en elle, la jeune
fille le sentait grandir depuis
Welle avait rencontré Pierre
avières Chez Mme. Poncet.
Lorsque autrefois Françoise sc
demandait quel tribut de que:
lités de coeur et-d’esprit devrait
lui apporter, pour faire d'elle
une fehame heureuse, celui qui
se présenterait pour être sûn
mari, jusqu'où pourrait aller
son ‘rêve de jeune fille et où il
devrait s'arrêter, élle vonclu-
ait: “Oh! pourvu qu'il m'ai-
me!” Quandelle pensait main-
tenant à Picrre Bravières, elle.
se prenait à croire, sans/tenter
-de raisonner et de justifier un
sentiment si. soudainement
éclos, que celui-là, s'il-était son
mari, l’aimerait vraiment eorh:
me ele voulait être aimée. Et
c'étüit pour elle une grande
douceur de se dire que son
coeur pourrait répondre à uné
telle affection-qu’elle prévoyait
si tendre et si forte. ,
Mme Poncet, qui ‘avait le
“flair”, comme il lui plaisait de
s’en: vanter; croyait bien avoir
deviné les pensées de derrière
le coeur qui hantaient Françoi-
se Chanteau et Pierre -Braviè:
res; et elle se réjouissait: “Ils
se plaisent, -c'est sûr, ces pe-
tits, se disait-elle. Au. reste,
pouvait-il en être autrement”?
Cette gamine sérait bien diffi-
cile si le jeune Bravières offus-
quait ses regards. Je voudrais
bien voir ça qu’elle fit la dé-
oûtée! Et le docteur aurait
onne grâce vraiment à dédai-
gner un'‘petit coeur qui ne de-
mande qu'à se donner! Est-elle
assez gracieuse, fine, avenante,
cette Françoise!" Quel plus joli
cadeau peut-on faire à un en+
fant de vingt-sept ans\qui est
en appétit de mariage, me
ils le sont presque tous à pareil
âge! Tout va bien, mais nous
ne sommes pas au bout de nos
‘peines. Le plus dur reste à
faire.”
Mme Ponéet comprenait très
lbien que l'élan de sympathie
|qui semblait pousser l’un vers
| l'autre ses deux protégés, ris-
[quait de tourner -court, si ôn
| ue leur offrait pas des oecasionk
| de se voir, .de se connaître, pat-
tant d'augmenter leur mutuelle
estime, en attendant cette autre
chose qui ne pouvait tarder-à
‘venir, L’embarras de Mme
Poncet était extrême. Les con-
vier de nouveau, astucieuse-
ment, et par surprise, à se re-
trouver à la villa des Bruyères,
il. n’y fallait point songer.
Qüand bien même le jeuñe mé-
decin et aussi les dames Ghan-
teau se prêteraient à là petite
manoeuvre, et ce n’était pas im-
possible, après tout, “le vieux
croquemitaine de père Chan-
teau était à pour. un coup”,
comm disait Mme Poncet,
procédé de l’embuscade était
donc ‘éventé, Il'convenait de
trouver mieux. Tandis qu’elle
y réfléchissait, Mme Poncet sc
souvint très opportunément que
la villa des Bruyères, bâtie par
clle quinze- ans auparavant,
n’avait point encore été bénite
par M. le curé. Eh bien, elle
réparerait sa négligence, don-
neraïit à la cérémonie une cer-
‘taine solennité, inviterait les
personnes de ses relations, et,
tout naturellement, le docteur
couper. + Enlevezdes sûremen
et sens douleur avec Holloway's
Corn Remover, K
4
À
lui arrivait de se lever, de‘cou- |
PS AI
ni _
L L r
45
Le.
naître à son eus d
Poncet atténdit qu'ils eussent
quitté la sacristie, puis brave:
ment elle exposa Sa requête au
doyen. gas :
«— Madame, fit l'abbé Tharot,
bien qué votre désir de deman-
der pour votre maison les bé:
nédictions de l'Eglise soit bien
un peu tardif, je ne puis que
l'approuver. : : | ‘
—'Oh! monsieur le doyen,
s'écria Mme Poneet, que vous
êtes bon, ét comme je wus re-
mercie ! 4 ee
: — Ne me remerciez pas si
vite, fit le doyen, calmant d’un
geste cet élan de gratitude, je
veux bien bénir votre maison,
mais jy mets toutefois une con-
dition.
— Et laquelle? fit Mme Pon-
det.::. "%
— Ïl y a, reprit l’abbé Tha-:
rot, dans les prières du rituel
que je lirai à haute voix avant
’asperger d’eau bénite votre
maison, une phrase que. je
me permets d'offrir à vos ré-
flexions : “Et intra parietes do-
muts islius angeli tuae lucis jn-
habitent.”
— C'est que je ne connais
pas le latin, dit. Mme Poncet
d’une voix humble, et baissant
la tête comme. une petite fille
qui n’a pas appris sa leçon.
— Ah! c'est juste! s'écria le
doyen: Je dirai dans la prière
du rituel: “Seigneur, que les
anges dé ta Jumiére habitent
entre les murs de cette mai-
son.” Or, je ne voudrais pas,
madame, donner aux ages du
Seigneur de trop vilaines cho-
ses à garder, ct les exposer à
se trouver én une compagnie
qui ne saurait leur agréer, Vous.
avez chez vous, je le sais, et je
vous en ai fait maintes fois
reproche, beaucoup de livres.
de ces dibri lepidi, de ces fabu-
lae ‘amatoriae. (1)..1 ah! par:
don, de ces romans, je veux di-
re, qui sembl rits tout ex-
près pour Ja perversion das
coeurs .et la perdition. des
âmes! k
— Monsieur le doyen, dit
Mme Poncet, l'air contrit, les
eux à terre, je prends la réso-
tion de n’admetfre chez moi
que des romans dont les au-
teurs sont de l'Académie fran -
çaise. »
+ 0h!-madame, fit l'abbé
Tharot, vous me donnez là une
assez piètre garantie!. Bien que
l’Académie française ait eu
pour fondateur un évêque, un
cardinal, il.s’en faut que tous
ces immeéssieurs qui lui doivent
aufourd'hui d'être académi-
ciens soient des 1#nges de lumtié-
re! - Non, je ne puis être satis-
fait d’un pad rer aussi peu
rigoureux... ’assurez-v'o 5,
madame, que Je jour:de la bé-
nédiction, je né verrai pas s'é-
taler sous nes yeux des livres
dont le titre et le nom seul de
l'auteur -sont un scandale ?
. + de vous promets, monsieur
le doyen, que vous n’en verrez
aucun!
r— Alors, c'est chose ehten-
due, madame, fit l’abbé Tha-
rot, pour le jour qu'il vous plai-
ra de isir, et que vous vou-
drez bien me faire connaître,
-Lorsqu'elle eut quitté le
doyen, Mme Poncet chercha
peer de ta semaine elle
5
ER
théologiens pour parler de romans.
,
s'arran-|re à sa femme et
HA
4 dou.
reuses, expressions qu'emploient les
eût lieu en l'absence ‘du-vieux
ù di?
p
à sa
ta
presse
nouvelle
ent ou non.
ifse répandirent en propos necr-
“Un lunch, qu'est-ce a"
c'est que ça? Un Tunch à Br
nay-sur*Andarge, avait-on ide.
de cela, par exemple! Qu'es:-”
ce ge c'était qué ces manières
de Paris, de château, de gran
monde, que cètte dame Poncr!
voulait acclimater à Brepay wr—
la vie était-si simple, si fami-
liale, ‘où l'on se: contentuit de
se recevoir, sdns façon, entr:
bons amis? C'était une orgueil-
leuse, une faiseuse d'embarras.
cette dame Poncet!” Dans cét-
te petite ville décing mille ba-
bitants, où le ren d’un do-
mestique suscitait plus de ru-
meurs et de commentaires qui
la mort d'un roi d’Angleterr:.
une révolution au Portugal,
l'annonce de cette bénédiction
suivie d’un lunch prenaït le:
proportions d'un événement.
usqu'au jeudi, on ne:s'entre-
tint pas d'autre chose. Pendan!
trois jours, Mme *euve Legros
ne parla point de ses maladies
et oublia même d'y penser.
La en de la bénédic-
tion avait été fixée par le doyen
à trois heures de l'après-midi.
Dès deux heüres.et demie, Mmr
Poncet se tenait dans le grand
salon de sa villa pour y accueil.
lir ses invitées. .: ni
Bientôt elles ÿ ‘furent assem-
blées au nombre de vingt-deux,
autour de la maîtresse de mai-
son vêlue d’une rabe de. satin
noir que voilait une unique
brodée de perles avec euirasse
de dentelle. Elle distribuait à
toùtes des sourires et des rc-
merciements . qui - tombaient
avec grâce de ses lèvres, d'un ,
rouge trop jeune pour être hu-
turel: “Que c'est gentil à vous :
chère ‘madame, .: d'être ‘venue:
rs un. temps pareil! — C'est
ien de la bonté de voire part.
je vous reconnais bien là!” +.
Le mois de novembre en était
à sa première quinaaine: ki
dames rtaient, ce - jour-là,
leurs toilettes d'hiver qu'elles
avaient solennellement inaugu-
rées à la grand'messe de ln
Toussaint. Plusièurs d’éntre el-
les très -fières d’être conviges
‘en un “château” et. qui vou- *
laiént y paraître à leur place,
avaient, en toutc urgence, de-
mandé aux magasins de Paris
des costumes tout faitst à pei-
ne avaient-elles eu de témps de
les retirer du carton, On avait
aussi sorti les fourrures des
profonds tiroirs où elles doi-
maient tout l'été avec des in.
rédients qui passént pour tuer
es mites. Une odeur d'étoff:
neuve et de naphtaline bis -
sait le salon. Ah! il avait fall
faire diligence pour être prête
au jour indiqué! Sansa vigi
lance de sa fille Laure, Mm:
Legros avait ‘un' malheur. de
plus à joindre à la liste déj:
si longue de ses infortuncs.
Dans sa hâte d'étre une de:
premières arrivées à la villa
des: Bruyères, Mme Legro:
avait endossé, sans prendre je
temps d'enleverde petit bout di:
carlon qui en sigonlait le pris,
la jaquette de velours noir.ve-
nue, sur he, de Paris et
que le commissaire de da gare
avait apportée le matin .
verser Îles rues, paruitre dan»
les salons de Mme Poncet ave.
une étiquelte cousue dans l
dos “Occasion exceptionnelle
279 fr, 95”, elle se sentait géfait
lir. 4 HN l
Le froid commpençait à pi:
quer: cl presque toutes ces ,du-
mes Claient vêtues de peaux de
bête, comme leurs grañd'mi-
res du temps des caverñes:
racu}, astrakan,: chevrette
dus dames is & ee 4 *
arge. :
né ns (A:sulyre)., un
LA
A songer qu'élle qurait pu tra- .